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André Zoli Pagnah par décret présidentiel est relevé de ses fonctions et remplacé par M. Mamoudou Abdoulmoumini maîtres de Conférences, usant du matricule 652 106-M.

 

Depuis l’année dernière le climat est délétère à l’Ecole des sciences et médecine vétérinaire (Esmv) de l’Université de Ngaoundéré. En l’espace de 6 mois, les élèves de cette école d’Etat ont organisé pas moins de quatre mouvements d’humeur. Le mois dernier, les enseignants de cette même école sont également entrés dans la mouvance des grèves parce que réclamant le paiement de leur prime et autres avantages. Cependant leur mouvement d’humeur a pris fin avec la régularisation de leur situation. Ce qui visiblement n’a pas été le cas avec les élèves de l’Esmv. Car en date du 8 avril 2019, ces derniers ont fait parvenir une note au Pr Uphie Chinjé Melo, Recteur de l’Université de Ngaoundéré, dans laquelle, ils l’informaient de la tenue d’une nouvelle grève. La différence étant que celle-ci va s’étendre sur une période d’un mois.

Pour mieux comprendre la situation qui prévaut dans cette école d’Etat, il convient de rappeler que les apprenants de l’Esmv évoquent depuis longtemps des problèmes de managements, organisationnels et des difficultés liées aux infrastructures. Au début de ce mois d’avril 2019, un élève approché par l’un de nos confrères de la presse locale, a déclaré à ce propos « nous sommes dépassés. Je suis arrivé dans cette école en 2008 et nous sommes en 2019, ça fait 11 ans. Si j’étais dans une faculté, je devais déjà être docteur. Que l’administration ait pitié des enfants des pauvres. Certains d’entre nous ont vu leurs parents aller à la retraite alors qu’ils sont encore sur les bancs. C’est pour quelle finalité ? ».

Les apprenants se plaignent aussi du minime effectif d’enseignants mis à leur disposition par l’administration. « Nous avons moins de 10 enseignants pour 14 promotions en formation. Certains font le tour de tous les cycles et les départements », affirmait il y a de cela quatre mois un étudiant gréviste approché par notre confrère Jean Besane Mangam.

Tous ces problèmes sus évoqués ont donc fini par avoir raison de M. André Zoli Pagnah l’ancien directeur de l’Esmv qui cède son siège à M. Mamoudou Abdoulmoumini suite à un décret signé par le Président de la République. A la suite de la publication dudit décret, le Pr Uphie Chinjé Melo, Recteur de l’Université de Ngaoundéré, a publié un communiqué radio dans lequel, elle énumère un certain nombre de mesures qui ont été prises pour régler définitivement les problèmes soulevés par les élèves de l’Esmv. Il s’agit entre autres de l’augmentation du nombre de salles de cours des apprenants. On est passé de 3 salles à 14. L’établissement des relevés de notes et les attestations de réussite qui ont été mis à la disposition des élèves depuis janvier 2019. Il y a la programmation d’une première vague de soutenances des thèses de Doctorat en médecine vétérinaire. Ces soutenances ont eu lieu les 8 et 10 février 2019.

Dans le communiqué radio du Recteur, il est dit que d’autres mesures adoptées ont commencé à être implémentées à partir du 15 avril 2019. Dans ce sillage on peut citer entre autres, la programmation effective des enseignements dispensés par les enseignants permanents, l’ouverture imminente d’une unité de formation doctorale, la transformation de certains stages en formations en alternance donnant droit à la délivrance d’une attestation et devant permettre à la valorisation d’une partie du retard académique.

 

Liliane N. 

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Ils ont à cet effet fait parvenir une note le 08 avril 2019 au Pr Uphie Chinjé Melo, le Recteur de l’Université de Ngaoundéré.

 

Si rien n’est fait, les élèves inscrits à l’Ecole des Sciences et de Médecine Vétérinaire (Esmv) de l’Université de Ngaoundéré vont faire la grève durant un mois. C’est la principale information contenue dans la note parvenue au Pr Uphie Chinjé Melo. Ces élèves indiquent qu’ils ont décidé de suspendre les cours pour une durée de 1 mois éventuellement renouvelable. La cause de ce nouveau mouvement d’humeur qui s’annonce est d’après les plaignants, la non prise en compte de leurs doléances lors des dernières grèves.

D'après certaines de nos sources, les apprenants réclament des meilleures conditions d’études et le respect du calendrier académique comme c’est le cas dans d’autres établissements de l’institution. Ils affirment passer plus de six années à l’Esmv. Ceci à cause du fait qu’ils passent plus de temps dans un seul niveau. « Nous sommes dépassés. Je suis arrivé dans cette école en 2008 et nous sommes en 2019, ça fait 11 ans. Si j’étais dans une faculté, je devais déjà être docteur. Que l’administration ait pitié des enfants des pauvres. Certains d’entre nous ont vu leurs parents aller à la retraite alors qu’ils sont encore sur les bancs. C’est pour quelle finalité ? », a confié l’un des élèves plaignants à l’un de nos confrères.

Les apprenants plaignants parlent aussi des problèmes d’infrastructure et d’enseignants. L’école créée en 1993 et fonctionnelle depuis 2008 fait face à d’énormes problèmes infrastructurels, managériaux et organisationnels. Lors des dernières manifestations, l’administration avait fait des concessions. La mise à la disposition des apprenants des salles des établissements primaires et scolaires à proximité du campus. Lors des dernières manifestations, le recteur semblait avoir pris des dispositions pour résoudre ce problème. 

A en croire les étudiants, les salles dont l’administration évoque ne sont pas réellement mises à leur disposition. Sur les 08 salles requises, juste une seule 01 a été réquisitionnée. Ce qui n’est pas du goût des étudiants qui ont décidé de maintenir la pression sur l’administration.

A titre de rappel, en début du mois de février dernier, les élèves de l’Esmv qui faisaient grève avaient décidé de la suspendre, après avoir eu une rencontre avec le Ministre d’Etat, ministre de l’Enseignement supérieur.

 

Liliane N.   

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Les cours ont finalement repris depuis le lundi 18 mars 2019.

 

La grève qui avait débuté le 4 mars 2019 à la Faculté des Arts, Lettres et Sciences humaines (Falsh) a finalement pris fin. Les enseignants de cette Faculté qui se plaignaient, ont reçu l’argent qu’ils réclamaient. Après le paiement par l’Université de Ngaoundéré des primes et autres avantages, le collectif des enseignants plaignants a commis un communiqué pour indiquer que le mouvement d’humeur qui a paralysé les cours durant 14 jours est terminé. «Nous avons obtenu ce que nous souhaitons, maintenant les cours vont reprendre», déclare dans les colonnes de notre confrère Le Jour, l’un des enseignants grévistes en service au département de géologie.

Les étudiants ont pu donc se faire dispenser les premiers cours comptant pour le deuxième semestre. Les enseignants étaient dans les salles de classe lundi dernier. «Ici c’est le niveau 3 Sociologie. On vient de finir le cours et nous attendons un autre enseignant», affirme la dénommée Djenabou étudiante en sociologie.

Il faut rappeler qu’après une réunion de conciliation tenue le 11 mars 2019 avec le Pr Uphie Chinjé Melo, Recteur de l’Université de Ngaoundéré, les enseignants avaient décidé de suspendre pour 48 heures la grève. Cependant, les promesses du Recteur n’ayant pas été respectées, le mouvement d’humeur avait repris de plus belle. «Aucun virement n’a été effectué en faveur des Enseignants dudit établissement à l’échéance du 12 mars 2019, la grève qui avait été suspendue a repris…Cette grève se poursuivra jusqu’au samedi 16 mars 2019 si entre temps aucune solution n’est apportée aux revendications exprimées», avaient indiqué les enseignants grévistes dans un communiqué, qu’ils ont rendu public.

Un membre du collectif des enseignants de la Falsh explique qu’«avant les frais de corrections et de jurys étaient payés à l’agence comptable de l’Université. Ils ont décidé de renvoyer cela aux Finances par méchanceté. Avec pour objectif de casser notre mouvement. D’ailleurs, ce n’était pas des gros montants que nous réclamions. Cela variait entre 10 000 FCFA et 30 000 FCFA pour certains».

Le calme étant revenu à l’Université, les résultats des examens de rattrapage ont été sortis. «Nous travaillons chaque jour pour faire avancer les choses. Lorsque je dis quelque chose et je m’engage à ce que cela soit réalisé. J’avais donné ma parole aux enseignants de la Falsh. Il y a eu des lenteurs administratives qui ne dépendent pas de moi. Voilà pourquoi le paiement a trainé», a déclaré le Recteur.

Liliane N.

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Les promesses faites par le Pr Uphie Chinjé Melo, le Recteur de l’Université de Ngaoundéré n’ont pas été respectées.

 

Mercredi dernier, les enseignants de la Faculté des Arts, Lettres et Sciences humaines (Falsh) ont repris le mouvement d’humeur qu’ils avaient momentanément suspendu. Le 13 mars 2019, le climat était délétère à la Falsh. Les enseignants grévistes dans un communiqué signé par 26 d’entre eux, font savoir la raison pour laquelle, ils grèvent de nouveau. « Aucun virement n’a été effectué en faveur des Enseignants dudit établissement à l’échéance du 12 mars 2019, la grève qui avait été suspendue a repris…Cette grève se poursuivra jusqu’au samedi 16 mars 2019 si entre temps aucune solution n’est apportée aux revendications exprimées», peut-on lire dans leur communiqué.

Une fois de plus, les étudiants de la Falsh n’ont pas pu avoir les cours devant compter pour le deuxième semestre. Dans les colonnes de notre confrère Le Jour N°2892 l’un de ces étudiants en licence niveau 3 de géographie exprime son désarroi. «Nous sommes les victimes de cette grève. Voilà 13 jours que les cours n’ont pas repris. Nous n’avons pas les résultats des examens de rattrapage. C’est dur pour les étudiants», déclare-t-il. Un enseignant gréviste rencontré par notre confrère indique qu’ils ont bel et bien les copies des examens de rattrapage des enfants. Mais ils n’y toucheront pas jusqu’à ce que leurs banquiers leur notifient d’un virement effectué.

Iya Moussa le Doyen  de la Falsh affirme que la grève des enseignants est mal pensée et irresponsable. Surtout que les services financiers de l’Université de Ngaoundéré sur instruction de Madame le Recteur travaillent depuis lundi dernier pour satisfaire le collectif des enseignants de la Falsh.

A titre de rappel, les enseignants grévistes revendiquent depuis le 4 mars 2019, le paiement des primes de recherches, de jurys des examens et des soutenances. Après la réunion de conciliation tenue le lundi 11 mars 2019 avec le Recteur, le Doyen de la Faculté ainsi que le collectif des enseignants de la Falsh, la grève avait été suspendue pour 48 heures. Les responsables de l’Université avaient promis d’accorder une attention particulière aux demandes desdits enseignants.

«Les droits des enseignants de la Faculté seront apurés en fonction des disponibilités. L’urgence pour nous est de rassurer les enseignants de la Falsh que dès ce mardi, ils recevront dans leurs comptes bancaires ce qui les revient de  droits. Les services financiers de l’Université sont à pied d’œuvre», avait déclaré le Pr Uphie Chinjé Melo.

Le Recteur de l’Université de Ngaoundéré avait par ailleurs décidé de créer deux points focaux des enseignants. Lesdits points auront la charge de suivre les dossiers financiers de la Falsh jusqu'à l’agence comptable de l’institution universitaire.

Liliane N.

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Après une réunion de crise tenue avec le Pr Uphie Chinjé Melo le Recteur de cette Université, les enseignants plaignants de la Faculté des Arts, Lettres et sciences humaines (Falsh) ont décidé de lever momentanément le mot d’ordre de grève.

 

Il y a du nouveau dans le mouvement de grève initié par les personnels d’appui de l’Université de Ngaoundéré. La réunion de conciliation qu’ils ont eue le lundi 11 mars 2019 avec le Recteur a contribué à apaiser les tensions. Cette réunion a été suivie aussi par le Doyen de la Faculté des Arts, Lettres et sciences humaines ainsi que le collectif des enseignants de la Falsh. Les responsables de l’Université ayant promis d’accorder une attention particulière aux demandes des enseignants, ces derniers ont convenu d’une suspension de la grève pour une durée de 48 heures.

«Les droits des enseignants de la Faculté seront apurés en fonction des disponibilités. L’urgence pour nous est de rassurer les enseignants de la Falsh que dès ce mardi, ils recevront dans leurs comptes bancaires ce qui les revient de  droits. Les services financiers de l’Université sont à pied d’œuvre», a déclaré le Pr Uphie Chinjé Melo. Le Recteur de l’Université de Ngaoundéré a par ailleurs décidé de créer deux points focaux des enseignants. Lesdits points auront la charge de suivre les dossiers financiers de la Falsh jusqu'à l’agence comptable de l’institution universitaire.

Ce sont ces promesses sus présentées qui ont conduit à l’arrêt momentané de la grève en attendant de voir l’effectivité des paiements. Le collectif des enseignants plaignants qui a signé un communiqué révélant les rebondissements de leur affaire, a toutefois indiqué que, «la grève reprendra le mercredi 13 mars dès 7h30, si les droits ne sont pas virés à la date promise». D’après l’un des enseignants plaignants, même si la grève a été suspendue, le travail n’a pas encore repris. «Les copies des examens de rattrapage ne sont toujours pas corrigés et les cours n’ont pas toujours repris », précise-t-il.

A titre de rappel, c’est le lundi 4 mars 2019 que les enseignants ont entamé leur grève à l’Université de Ngaoundéré. Avec les personnels d’appui de l’Université, ils avaient pris d’assaut le rectorat. Les étudiants de la Falsh n’avaient pas pu faire cours. Pourtant ils devaient avoirs leurs premiers enseignements comptant pour le second semestre de leur année académique.

Les grévistes revendiquent l’application des textes qui encadrent les avantages liés à leur fonction. Ils parlent de la restitution de la totalité de l’indu prélevé sur leurs salaires depuis 1993. Ils veulent l’application de l’article 23 du décret présidentiel 2011. Ils souhaitent la revalorisation du Smig à 36 270 Fcfa conformément au décret du Premier Ministre signé le 24 juillet 2014. Ils veulent la signature des textes annexes du décret N°2011/119 du 18 mai 2011 relatif au profil de carrière du personnel d’appui, la revalorisation de la prime d’appui à la recherche, la revalorisation des frais de transport.

Liliane N.

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Sunday, 05 June 2022 11:01