Ce n'est un secret pour personne, le samedi dernier l'on a assisté au 23ème mouvement des gilets jaunes. Selon des informations concordantes et puisées à bonne source, Gaspard Glanz était à la tête d'une société de production avant sa mise en garde à vue le samedi 20 avril 2019.
Les faits reprochés au journaliste
On lui reproche au moins deux faits, notamment d'avoir "participé à un groupement en vue de commettre des violences ou des dégradations", et "outrage sur personne dépositaire de l'autorité publique". Comme preuve palpable, une vidéo diffusée sur Youtube, laisse apparaître, le journaliste dans une posture où il interpelle des forces de l'ordres sur la Place de la République sous le fallacieux prétexte d'avoir été visé par un grand désencerclement. N'est pas aussi exclus le droit d'honneur fait par le journaliste aux forces de l'ordre, après avoir été poussé au préalable par un policier.
Le syndicat des journalistes ayant appris l'arrestation n'a pas fait attendre son sa dénonciation. Selon le syndicat, il s'agit purement et simplement des actes de répression qui ont débordé les limites pour cibler des groupes corporatistes qui ne font qu'exercer leur profession sur le terrain.
Innocent D.H