Dans une lettre adressée au directeur de publication de ce tabloïd, elle réfute les accusations portées contre sa personne en fustigeant le manque de professionnalisme de ceux qui ont rédigé l’article paru le 15 novembre 2021
“Il m’a été donné de constater que dans la parution du journal “La Nouvelle” du 15 novembre 2021 que vous dirigez (1) un article écrit par monsieur Boris Armelle Mbock affirmait exactement ce qui suit après l’annonce de sa Une:
“Feymania – la grosse arnaque manquée de Mme Imbert”, “ Le Salon Inversé des Approvisionnements des partenariats et des Collectivités Locales (Siapec 20), une initiative de la société Cameroun Investissements Echanges ( ie) que dirige la franco camerounaise Marie-Thérèse Bitye Imbert dévoile la face cachée d’une grosse arnaque visant à spolier les communes camerounaises – Enquête”.
Monsieur le Directeur général,
il s’agit là d’une dénonciation calomnieuse sur (2) deux pages de votre journal. Cette sortie médiatique, qui n’honore pas la presse en général et votre média en particulier, souffre de plusieurs entorses journalistiques qui ont sérieusement porté atteinte à mon image, au Siapec 20 et à la société Cameroun Investissement Échanges dont je suis par ailleurs la promotrice.
Toutes ces informations sont fausses. Il s’agit des déclarations mensongères et de diffamation de la part de votre journal à mon endroit.
En effet, non seulement il n’a été présenté aucun document à l’opinion publique pour étayer les faits supposés d’escroquerie, mais aussi et surtout, il ne ressort nullement de cet article à charge, aucun élément de contradiction, permettant d’assurer l’équilibre et l’objectivité dans le traitement de l’information.
N’ayant jamais été contactée ni même consultée, il va sans dire que l’éditeur que vous êtes, a obligation de fournir une information équilibrée, et de présenter les faits avec objectivité et sans discrimination.
En raison de ce qui précède et du préjudice que j’ai subi, je sollicite de votre part, un droit de réponse dans les conditions prévues par l’article 53 de la loi N°90/052 du 19 décembre 1990 portant communication sociale au Cameroun.
En d’autres termes, j’exige qu’il me soit donné l’opportunité de démentir les allégations avancées par votre journaliste monsieur Boris Armelle Mbock dans la parution de votre journal “La Nouvelle” de lundi prochain ainsi que dans les colonnes du journal en ligne « “Cameroun Web”, avec l’annonce de ce démenti à la Une.
Passé le délai de 48 heures à compter de la réception de la présente et en cas de silence de votre part, j’en tirerai toutes les conséquences de droit. Sachant compter sur votre compréhension, veuillez agréer monsieur le Directeur général nos salutations distinguées”.
N.R.M
Le député Cabral Libii dément faire partie de ces personnalités qui ont bénéficié des marchés du Covid-19.
Le député Cabral Libii a choisi d’adresser un droit de réponse au journaliste Sismondi Barlev Bidjocka promoteur de la chaine de radio Ris Fm. Il y a de cela quelques jours encore, il brandissait la menace de traîner ce dernier en justice pour diffamation. Car faut-il le rappeler, dans un de ses éditoriaux tant suivis dans la ville de Yaoundé, le journaliste Sismondi Barlev avait affirmé avoir appris que Cabral Libii li Ngué le patron du PCRN et Nourane Foster sa collègue député par ailleurs camarade de parti, ont gagné des marchés du Covid-19, sur les 135 milliards du FMI.
Cette déclaration a fait l’objet de nombreux articles qui ont été publiés sur la toile. L’ancien candidat à l‘élection présidentielle de 2018 a choisi de blanchir son nom et de laver son honneur. Hier, il a donc servi un droit de réponse au journaliste Sismondi Barlev Bidjocka par le biais de l’huissier Me René Roger Bebe. Un droit de réponse qu’il se voit enjoint de diffuser «dans les 48 heures à compter de la réception, à la même heure et dans les mêmes condition d’audience».
Ce vendredi 28 mai 2021, le député Cabral Libii a exhibé sur la toile des documents comptables, expliquant qu'il s'agit des preuves montrant qu’il avait retourné à l’administration de l’université de Yaoundé II Soa, la somme de 420 000 Francs CFA représentant les frais débloqués pour une mission (annulée) et les reliquats des frais de diffusion du message promotionnel des licences professionnelles à la CRTV et Canal 2.
Et dans un tweet, il a indiqué que la chose publique est sacrée.
«À l'époque à l'université de Yaoundé 2, quand je remboursais les frais de mission, parce que je n'avais pas fait le déplacement, j'étais une grosse curiosité, voire un sujet de moquerie...Et pourtant, c'est ce que mon père m'avait appris : La chose publique, c'est sacré!», a-t-il écrit sur son compte Twitter.
Liliane N.
Ce dimanche 13 décembre 2020, le membre titulaire du comité central du Rassemblement démocratique du Peuple camerounais (Rdpc), était invité à l’émission « Droit de réponse » sur les antennes de Equinoxe Tv. Au sujet de la libération de Maurice Kamto, le Pr Messanga Nyamding met en garde le président national du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (Rdpc) sur d’éventuels comportements visant à défier l’autorité de l’Etat.
Sur le plateau de Droit de réponse ce dimanche à Equinoxe Tv, le Pr Messanga Nyamding lance : « Je vous met en garde. Si vous recommencez, tant pis pour vous ! Si Kamto recommence, il part en prison ». Une mise en garde qui s’apparente ainsi à un coup de gueule en destination du Pr Maurice Kamto, le leader du MRC.
Pierre Emmanuel Binyam, qui représentait le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun à Droit de réponse, a soutenu pour sa part : « Au Rdpc, vous avez dit que nous sommes des talibans. Oui nous sommes des talibans parce que nous sommes dans la résistance ».
De son côté, Me Lavoisier Tsapi, représentant du Social democratic front (Sdf) a dit à Messanga Nyamding sans contours ni détours que le parti de la balance se réveille enfin de son sommeil profond. « Monsieur Messanga Nyamding, le Sdf s’est réveillé vous allez dorénavant avoir face à vous plusieurs fronts », a-t-il expliqué. Le Parti du chairman Ni John Fru Ndi qui était d’ailleurs réuni ce samedi, 12 décembre 2020 dans le cadre d’un conclave de son comité exécutif. Une occasion de jeter les jalons d’une nouvelle feuille de route de cette formation politique de l'opposition.
Innocent D H