De véritables journaleux. Des experts en inventions d’articles de presse. Des adeptes de la manducation des figures de la république.
Il est évident que depuis quelques mois maintenant, le ministre secrétaire général à la présidence de la république fait l’objet de nombreuses attaques de la part d’un certain nombre de titres publiés au Cameroun. Un acharnement qui se traduit par ces titres très souvent pompeux visant directement ou indirectement le SGPR. Ces journalistes d’un autre genre ont réussi à créer et alimenter au sein de l’opinion publique une série de faits imaginaires au sujet du ministre Ferdinand NGOH NGOH.
Au début et à la fin de la chaîne de leurs actions une seule ambition, combler les attentes de la panse. Ne soyez donc pas surpris que sur deux parutions successives, vous lisiez deux titres contradictoires au sujet de la seule personne du SGPR, sans qu’il y ait eu de droit de réponse exercée ou toute autre action en provenance du plus proche collaborateur du Chef de l’Etat. En effet, ceux–ci sont très souvent à la solde de certains administrateurs et hommes politiques qui ont délibérément décidé de se constituer adversaire du ministre NGOH NGOH. Alors, il arrive très souvent que ces bailleurs de la diffamation n’honorent pas leurs engagements financiers. Pour les desservir et exciter l’attention qui met en mouvement « le geste qui sauve », ces journalistes de la dernière heure acceptent de sacrifier le soupçon de crédibilité qu’on pourrait accorder à leurs « feuilles de choux ».
Comme son patron, fidèle à la logique du Chef de l’Etat, le ministre secrétaire général à la présidence de la république reste imperturbable. Plusieurs fois, ces journalistes sont venus toquer à sa porte pour répandre le venin de la calomnie. Chaque fois, ils ont du faire face au désintérêt du SGPR. Dans sa démarche cognitive, le ministre NGOH NGOH a toujours eu du mépris pour tout ce qui va dans le sens de la destruction de l’image et de la notoriété d’autrui. Car le fervent catholique qu’il est tient en estime la maxime biblique « fait à autrui ce que tu aimerais qu’on te fasse en retour ».
Des prétendus « Directeurs de Publication ». Détenteurs de journaux dont la parution se fait au gré des missions de diffamations. Ils n’ont pour unique objectif, perturber le SGPR, en espérant collecter assez de bons de carburants ou quelques autres subsides. Ces derniers sont désormais démasqués et dans les jours à venir la justice pourrait se saisir de ces maîtres chanteurs.
Stéphane NZESSEU