A la faveur de la célébration de son 25e anniversaire de mariage, nous mettons en vitrine un aspect de la vie du Chef de l’Etat pas très souvent souligné. En observant la vie de l’homme, nous constatons tous que Paul BIYA est un modèle de père de famille.
Marié depuis le 23 avril 1994 à Chantal Vigouroux, le Chef de l’Etat a toujours voulu tenir sa famille loin des projecteurs. Père de trois enfants dont deux issus de son union avec Chantal Biya et un premier (Franck Biya), fruit de son précédent mariage avec la défunte Jeanne Irène. Comme dans toutes les familles, le Président de la République a certainement connu des moments difficiles, mais il a toujours eu le mérite de savoir passer sous sourdine les petits remous de ménage et les quelques dérapages de jeunes enfants en crise d’adolescence.
Voici 25 ans que Paul et Chantal filent le parfait amour. Un exemple de fidélité et de stabilité. Dans un environnement où nous voyons en mondovision des chefs d’Etats de pays respectables tromper leurs compagnes et même pour d’autres divorcer et se remarier au sommet de l’Etat, Paul BIYA se présente comme un modèle.
Le père de la Nation est un bon père de famille. Chaque jour, après avoir régulé le pays, Paul BIYA veille à réguler sa maison. Il s’assure très régulièrement de la situation e chacun de ses enfants et des enfants de la grande famille sous sa responsabilité. Il a pris pour habitude de se rendre très régulièrement en campagne, question d’avoir le recul nécessaire pour consacrer davantage de temps aux siens.
Même si, faut-il le reconnaître, ses enfants ont été l’objet de quelques peccadilles, il y a lieu de reconnaître que le Président de la République a éduqué Frank, Brenda et Junior dans le respect des valeurs traditionnelles et républicaines. D'ailleurs quel parent peut jurer la main sur le cœur que sa progéniture soit parfaite ?
Paul BIYA, le bon père de famille, n’a jamais pris les devants pour peser de son poids, du haut de sa stature présidentielle, pour que sa famille soit omniprésente dans la gestion des affaires de l’Etat. Même pour ses plus proches, Paul BIYA a toujours prôné le mérite et la démocratie. Ce n’est pas un père qui impose ses choix. Il écoute, respecte la volonté de ceux des siens et propose des orientations selon la grande sagesse dont il est pourvu.
Comme Paul le recommandait dans ses épîtres bibliques, que le dirigeant soit mari d’une femme, et un bon père de famille. Paul BIYA en est un…
Stéphane Nzesseu