Cette fois c’est Patrick Duprix Anicet Mani qui, dans une tribune écrit : « Je connaissais déjà ce média trivial, mais là je découvre la petitesse et la mesquinerie de ceux qui y travaillent… ».
« Oh Noufele, qu’il est remarquable par son absence d’intelligence et de déontologie. Il a réussi l’exploit de laisser s’exprimer en mondovision sa petitesse d’âme. Cette attaque ridicule et ignoble portée sur la rigueur morale et intellectuelle du Professeur Mathias Eric Owona Nguini a juste laissé transparaître sa mesquinerie et son absence d’intelligence de situation.
On se poserait bien la question de savoir: quel intérêt a un média de faire tout un papier sur la sortie patriotique d’un universitaire sur une question d’intérêt national?
Je sais que peu de gens savent ou comprennent ce qui se passe réellement dans la cuisine journalistique, où se concocte la potée de mensonges dont les gens sont quotidiennement nourris.
Ne dit-on pas souvent que : « Qui vous paie, vous possède »?
Pourquoi Noufele (Nouvelle expression), les ambaboys ainsi que les supporters de Kamto sont devenus les portes voix des tweets d’Ilaria Allegrozzi (HRW) qui traînent dans la boue l’armée camerounaise ?
Derrière cet acharnement sur les médias patriotiques et les patriotes, se cache en réalité plusieurs sentiments ainsi que la misère.
Le complexe d’infériorité
A l’origine de ce complexe qui entraîne des maux tels que l’Ethno fascisme que nous observons dans un certain parti politique, le professeur autrichien Alfred Adler pointe du doigt le formatage de cerveaux dès l’enfance. Le sentiment d'infériorité trouve donc son origine dans l'enfance corrompue par les théories de victimisation qui entraînent l’aigreur et la haine de l’autre. Voilà pourquoi les chantres du suprématisme tribal sont avant toute chose des personnes complexées.
Pour se rassurer d’exister et d’avoir un minimum d’intelligence, elles se comparent quotidiennement à ceux-là dont leur éducation présente comme ennemis et qui seraient les freins à leur Vivre-heureux. Ils sont incapables de camoufler leur envie de ressembler à ceux qu’ils dénigrent. Ils sont victime du syndrome de la banalité existentielle. À cela s’ajoute le rôle des théoriciens des combats ethniques et leurs bras politiques qui croient mener un combat d’éveil tribal, en fixant des objectifs pouvoiristes à la mémoire collective tribale.
Et les petites personnes politiques qui se voient meneurs de ces luttes lugubres animent et entretiennent cette flamme de la haine et du repli en cherchant sans cesse à dévaloriser les autres. Le schéma est tout simple, on surestime ou mésestime les tribus, on attribue les valeurs et les vices aux tribus, on est obnubilée par les faiblesses et les défauts de quelques uns que l’on cherche maladroitement à attribuer aux groupes sociologiques.
Dans le Manuel de psychiatrie, J.M Sutter définit de son côté ce sentiment comme « l'impression pénible d'être inférieur à la normale, ou a un désir idéal désiré, soit dans un secteur déterminé, soit dans tous les domaines ». Voilà pourquoi ces personnes sont devenues victimes de pressions qu'elles se mettent elles-mêmes pour atteindre un objectif: paraître les plus intelligents, les plus beaux, les plus vertueux, les plus dynamiques, les plus riches, les plus rusés etc... Ceci ne fait que renforcer ce déséquilibre et leur croyance. Car il s'agit parfois de véritables lacunes, de manques (cultures, aisance sociale), mais aussi d'idées fausses, car les valeurs comme les vices ne sont pas collectifs mais individuels.
Que dire alors de la situation misérable de certains qui sont prêt à vendre leur honneur pour un bout de pain ?
Qui ignore que le milliardaire George Soros est le principal sponsor de Human Rights Watch (HRW), et qu’il utilise les ONG qu'il finance pour promouvoir ses intérêts économiques, politiques et culturels [ experts américains.] et que le conflit armé dans le NOSO a un fondement économique ?
"Toute organisation à but non lucratif qui accepte des contributions volontaires peut être soumise à l'influence de ses sponsors. HRW ne diffère pas des autres organisations à but non lucratif", a indiqué à Sputnik le directeur du Centre de la paix et de la liberté de l'Institut indépendant (Etats-Unis) Ivan Eland.
Le rédacteur du magazine Executive Intelligence Review Jeff Steinberg a pour sa part déclaré que M. Soros s'en tenait toujours au principe de la "Société ouverte" (Open Society est le nom de la fondation du milliardaire) qui a contribué à déstabiliser les systèmes religieux et politiques traditionnels à travers le monde.
Voilà pourquoi les ONG créées par George Soros, à savoir Open Society et Assistance, ont été jugées "indésirables en Russie" par une décision de la justice russe en novembre 2015.
"Le soutien de M. Soros en matière de légalisation des drogues est une partie de sa notion folle de "société ouverte", il utilise son large réseau d'ONG pour déstabiliser les régimes qui, selon lui, sont en contradiction avec la "société ouverte" libérale de l'Occident", a déclaré M. Steinberg.
Connaissant la souffrance à peine masquée de certains hommes de média ainsi que les luttes hégémoniques tribales d’un parti proche des mêmes médias, sans oublier leur côté essentiellement matérialiste on ne serait pas étonné d’entendre qu’ils ont passé leurs combats à la bourse de Soros.
Une chose reste indiscutable, le rapport de Hrw a bel et bien été remplacé sur leur site par un article après les dénonciations du gouvernement Camerounais et les responsables de notre valeureuse et très patriote Armée… ».
N.R.M