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La Chambre africaine de l'énergie salue le maintien de Mohammed Barkindo à ce poste. Sa reconduction à ce poste est vue comme un facteur de stabilité pour les marchés mondiaux du pétrole.

 

Pour la Chambre africaine de l'énergie, le fait d’avoir reconduit le nigérian Mohammed Barkindo au poste de Secrétaire général (Sg) de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), est favorable aux marchés mondiaux du pétrole. Cela va permettre une stabilité des marchés mondiaux du pétrole. Il est à noter que l’Opep vient de faire face à une période très instable et à une crise profonde des prix du baril. L’action de Barkindo durant ce climat délétère ont été salutaires pour cette organisation. Il a usé de son leadership et sa diplomatie pour rétablir la stabilité du marché et sceller avec succès des accords historiques comme celui de la Déclaration de coopération entre l'Opep et les pays non membres de l'Opep. 

 

En outre, le nigérian Mohammed Barkindo pour une action en faveur du continent, a accepté ses deux plus récents membres africains. Ces Etats membres sont la Guinée équatoriale en 2017 et la République du Congo en 2018.  Le Sg de l’Opep a reçu en 2018, le prix d’« Africa Oil Man of the Year ». Un prix qui lui a été décerné par Africa Oil. & Power. Cette récompense, il la doit au fait qu’il a donné la priorité à la coopération en période de turbulences. Aussi au fait qu’il a réussi à stabiliser les marchés pétroliers et à faire entendre la voix de l'Afrique sur la scène énergétique mondiale.

 

En sa qualité de président exécutif de la Chambre et Directeur général du cabinet juridique et de conseil de Centurion NJ Ayuk, déclare «l'extension du mandat de S.E. Mohammed Barkindo en tant que Secrétaire général pour trois années supplémentaires est une excellente nouvelle. C'est bien mérité et le résultat de la confiance qu'il a gagnée de l'ensemble de la communauté énergétique mondiale». Ce dernier ajoute «le Secrétaire Barkindo a maintenu la confiance en l’avenir de l’industrie pétrolière et gazière, il choisit les bonnes batailles et les combat avec courage. Alors que la course à la stabilité se poursuit, son sens du travail en équipe continuera de construire les ponts dont notre industrie a besoin pour atteindre une plus grande prospérité».

 

Il convient de noter que Mohammed Barkindo occupe le poste de Sg de l’Opep depuis le 1er août 2016.

 

Liliane N.

 

Published in International

Dans un communiqué de presse, la Banque mondiale table sur un baril de pétrole s’établissant en moyenne à 66 dollars en 2019 et à 65 dollars en 2020.

 

« De toute évidence, le cycle des prix des matières premières a pris fin et si les pays exportateurs souffrent de cette évolution, elle ouvre des perspectives aux pays importateurs », a déclaré Ceyla Pazarbasioglu, vice-présidente de la Banque mondiale pour le pôle Croissance équitable, finance et institutions dans un communiqué de presse de la Banque mondiale publié le 23 avril 2019. Il explique que les pays exportateurs vont devoir s’adapter à la baisse de leurs recettes tirées des produits de base en diversifiant leur économie tandis que les pays importateurs pourront profiter de prix moins élevés pour doper leurs investissements.  Selon cette institution financière internationale, des perspectives de croissance mondiale plus faibles que prévu et une production pétrolière supérieure aux attentes aux États-Unis ont conduit à réviser à la baisse les prévisions de prix pétroliers d’octobre 2018.  Elle table désormais,  sur un baril de pétrole s’établissant en moyenne à 66 dollars en 2019 et à 65 dollars en 2020.

Par contre, d’après les prévisions de la Banque mondiale, les prix des métaux devraient poursuivre leur remontée en 2019, après la brusque baisse enregistrée au second semestre 2018. Une dynamique qui s’explique par la stabilisation de l’activité en Chine après le léger fléchissement observé en fin d’année dernière ainsi que par les insuffisances de l’offre. Les coûts des produits agricoles par contre,  devraient se replier de 2,6 % en 2019 avant de rebondir en 2020, sous l’effet d’une baisse de la production et du renchérissement des prix de l’énergie et des engrais. L’escalade des tensions commerciales devrait tirer les prix vers le bas, mais la hausse plus forte que prévu des prix de l’énergie pourrait avoir un impact contraire plus important qu’anticipé.

« Les perspectives pour les matières premières sont sensibles aux risques liés aux politiques publiques, surtout quand il s’agit du pétrole », explique Ayhan Kose, directeur du Groupe d’étude des perspectives. Pour cette institution, une série de décisions, y compris de la part de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de ses partenaires concernant de nouvelles réductions de la production, le degré de conformité avec les récentes décisions sur les sanctions contre l'Iran, et la modification imminente de la réglementation des émissions dans le transport maritime pourraient inverser ces prévisions.

Après un repli fin 2018, les cours du pétrole ont connu une hausse régulière depuis le début de l’année, alimentée par les réductions de production décidées par les pays de l’OPEP et leurs partenaires et une baisse des volumes produits au Venezuela et en Iran. Globalement, indique la Banque mondiale,  les prix de l’énergie, gaz naturel et charbon compris, devraient reculer de 7,9 % en moyenne en 2019.

 

Marie Mgue

Published in Economie






Sunday, 05 June 2022 11:01