25/10
Christian Wangue, l’éphémère empire d’un journaliste africain « en congé »
14/10
Pratiques mafieuses au Cameroun : Mediapart remporte le procès contre Bolloré
23/09
Préparatifs Mondial 2022 : Toko Ekambi forfait pour le match Cameroun-Ouzbékistan.
21/09
La bataille d’équipementier conduit à un bashing entre Samuel Eto’o et Yannick Noah
25/07
L’Union Africaine se félicite de la reprise des exportations de céréales d’Ukraine et de Russie
21/07
Football: la FIFA condamne le Cameroun à payer plus d’un milliard de FCFA au portugais…
20/07
Affaire de mœurs: la sex tapeuse Cynthia Fiangan a passé sa première nuit en prison
19/07
Le Cameroun veut importer 400 000 tonnes de riz en 2022
19/07
Droits de l’homme: Le REDHAC vole au secours du Directeur de publication du journal Le…
19/07
L’ancien Lion indomptable Stéphane Mbia risque la prison en Espagne
19/07
Découvrez le programme du séjour du président français Emmanuel Macron au Cameroun
18/07
Les Lionnes indomptables qualifiées pour les barrages de la Coupe du monde 2023
18/07
Mea Culpa: les camerounais accepteront-ils les excuses de Gaëlle Enganamouit
18/07
Lettre ouverte/Calixthe Beyala au président Macron: «venez-vous pour adouber un homme pour la transition au…
18/07
Emmanuel Macron au Cameroun, c’est confirmé
15/07
Le président de la République nomme de nouveaux responsables au sein de l'armée
15/07
Administration territoriale: le président de la République nomme 14 nouveaux préfets et 57 sous-préfets
15/07
CAN féminine 2022: les Lionnes indomptables éliminées en quart de finale
14/07
Diplomatie: le président Emmanuel Macron annoncé au Cameroun
14/07
Match Cameroun-Nigéria: 5 raisons pour croire à la qualification des Lionnes indomptables

Displaying items by tag: Chracerh

Le décret présidentiel portant l’ancien Ministre de la Santé à la tête du Conseil d’administration du Centre Hospitalier de Recherche et d’Application en Chirurgie Endoscopique et Reproduction Humaine de Yaoundé, a été rendu public le 27 mai 2020.

 

André Mama Fouda revient aux affaires. Après sa sortie du gouvernement survenue avec le remaniement ministériel en 2019, on n’avait plus les nouvelles de l’ancien ministre de la Santé publique (Minsante). Paul Biya, le Président de la République, a décidé de lui faire confiance, en le nommant président du Conseil d’administration (Pca) du Centre Hospitalier de Recherche et d’Application en Chirurgie Endoscopique et Reproduction Humaine (Chracerh) de Yaoundé.

André Mama Fouda depuis hier 27 mai 2020 a dorénavant la charge de piloter le Chracerch, connu au Cameroun et dans la sous-région pour ses prouesses, dans le domaine de la fécondation in vitro. En dressant le bilan des naissances enregistrées au Chracerch, le Pr Jean-Marie Kasia le Directeur général (Dg) avait déclaré :

« Nous avons eu plus de grossesses que cela, mais toutes ne sont pas arrivées à terme. Nous sommes à 148 naissances avant la fin de l'année (2019 Ndlr). Nous sommes très chanceux d'avoir ces chiffres-là. Il nous reste deux bébés pour qu'on atteigne le chiffre annoncé et si nous sommes très chanceux, nous pourrions dépasser les 150. Puisqu'il nous reste encore à peu près neuf grossesses et d'ici la fin de l'année, on va avoir peut-être quatre ou cinq grossesses à terme. Le reste sera pour le début de l'année ».

Pour revenir à André Mama Fouda, il faut savoir qu’il a été Ministre de la Santé de 2007 à 2019. Il est né le 24 juillet 1951 à Yaoundé dans le département du Mfoundi. Il a assumé en 1990, les fonctions de Directeur général par intérim de la Société immobilière du Cameroun(Sic). De 1991 à 2007, il a été Dg de la MAETUR, avant d’être appelé au gouvernement.

 

Liliane N.

 
Published in Actualité

Avec cette nouvelle station, le Centre hospitalier de recherche et d'application en chirurgie endoscopique et reproduction humaine Paul et Chantal Biya, va pouvoir résoudre des problèmes de stérilité dont la cause était masculine.

 

Depuis son entrée en service, le Centre hospitalier de recherche et d'application en chirurgie endoscopique et reproduction humaine Paul et Chantal Biya (Chracerh) ne disposait que d’une seule station Icsi. Entendez par Icsi, micro-injection intracytoplasmique de spermatozoïdes. Il s’agit en fait, selon le corps médical, de la technique de reproduction médicalement assistée la plus utilisée. Ici il est question d’introduire un seul spermatozoïde à l’intérieur d'un ovocyte mature pour obtenir sa fécondation. L’Icsi est présenté comme une véritable révolution dans la Fécondation in vitro (Fiv).

Avec l’acquisition d’une deuxième station Icsi, le Chracerh dont l’objectif premier est de redonner du sourire aux familles en quête de progéniture, va pouvoir non seulement répondre à la demande sans cesse croissante, mais aussi revoir à la hausse ses prétentions. Dans le circuit de la Fiv, 500 femmes supplémentaires bénéficieront d’une prise en charge. « Nous étions à la recherche de cet équipement depuis trois ans. Nous avons été très chanceux d'obtenir celui-ci en l'espace d'une semaine. Il a été installé par un ingénieur suisse de passage ici pour le Ghana», déclare le Pr. Jean Marie Kasia. Il convient de rappeler qu’il est le Directeur général du Chracerh.  

Le Chracerh s’était fixé un objectif de 150 bébés à faire naître en trois années d’existence. Et le 27 août dernier, le Centre a enregistré sa 148e naissance. «Nous partirons de 500 cycles de grossesses actuellement à 1000 par an parce que la demande a augmenté. Nous avons commencé petit à petit et au fil du temps, notre croissance est exponentielle : les sollicitations émanent de partout sur le continent et du monde entier…Nous étions déjà débordés avec 500 femmes en ligne par an pour une grossesse. On se marchait sur les pieds avec un seul poste. Avec ce nouvel équipement, nous pouvons maintenant plus et mieux travailler », soutient le Pr. Michel Toukam, en service au Chracerh », fait savoir le Pr. Jean Marie Kasia.

 

Liliane N.

 

Published in Actualité

La formation sanitaire est sur le point d’atteindre son objectif de 150 bébés à faire naître en trois années d’existence.

 

C’est le 27 août 2019 aux environs de 9 heures 30 minutes, que le 148e bébé du Centre hospitalier de recherche appliquée en chirurgie endoscopique et reproduction humaine Paul et Chantal Biya (Chracerh), a vu le jour. C’est un nouveau-né de sexe féminin pesant 3,710 kilogrammes. Cette nouvelle naissance, la 148e, a réjoui les responsables du Chracerh. Parce que celle-ci rapproche la formation sanitaire de l’objectif qu’elle s’est fixée. Soit avoir 50 bébés par an et 150 en trois années d’existence. Il faut souligner que le Chracerh a été inauguré par Chantal Biya la Première dame le vendredi 06 mai 2016.

« Nous avons eu plus de grossesses que cela, mais toutes ne sont pas arrivées à terme. Nous sommes à 148 naissances avant la fin de l'année. Nous sommes très chanceux d'avoir ces chiffres-là. Il nous reste deux bébés pour qu'on atteigne le chiffre annoncé et si nous sommes très chanceux, nous pourrions dépasser les 150. Puisqu'il nous reste encore à peu près neuf grossesses et d'ici la fin de l'année, on va avoir peut-être quatre ou cinq grossesses à terme. Le reste sera pour le début de l'année.

Je crois fermement que nous allons atteindre cet objectif de 150 bébés en trois ans. Ce sera une très bonne nouvelle et le moment de rendre grâces à Dieu, de célébrer tous les Camerounais qui nous ont soutenus et surtout de rendre hommage à la Première Dame et au couple présidentiel pour nous avoir donné cette opportunité, de réaliser de tels exploits dans un contexte où personne n'y croyait vraiment », explique le Pr. Jean-Marie Kasia, directeur général du Chracerh.

Même si le Chracerh se réjouit des résultats satisfaisants qui ont contribué à donner du sourire aux femmes en quête de maternité, le Pr. Jean-Marie Kasia précise toutefois que la formation sanitaire n’offre pas seulement des soins pour les problèmes d’infertilité. Il y a également d’autres services qui y sont proposés à l’instar de la cancérologie.

« C'est un grand hôpital et au départ, le Chef de l’Etat nous a assigné trois objectifs. D'abord, nous devions développer la chirurgie sans ouvrir le ventre. Nous l’avons fait et ce n'est pas fini parce qu'il faut enseigner cette technique et permettre que cela se réalise aussi ailleurs. Le deuxième objectif concernait la fécondation in vitro, un grand challenge, parce qu'on n'était pas certain de réussir cette bataille. Nous l'avons accomplie.

La dernière chose importante qui reste à faire c'est la cancérologie gynécologique. Elle concerne tous les cancers à savoir celui du col de l'utérus, de l’intérieur de l'utérus, de l'ovaire ou du sein. Ce dernier depuis un certain temps prend de l'ampleur. Il est plus méchant parce qu'il évolue plus vite. Il suffit de négliger ne serait-ce qu'une petite tumeur au niveau du sein, qui dépasse deux ou trois centimètres et les jeux sont vraiment pipés », déclare le Directeur général du Chracerh.

 

Liliane N.

 

Published in Actualité

Les naissances ont eu lieu mardi dernier, 2 avril 2019, au sein de la formation sanitaire spécialisée dans la prise en charge de l’infertilité dans les couples.

 

A en croire Cameroon Tribune de ce mercredi 3 avril 2019, six de ces nouveau-nés, dont une paire de jumeaux, ont vu le jour au Chracerh. Les deux autres accouchements ont eu lieu dans des formations sanitaires où des dispositions particulières ont été prises pour ces grossesses précieuses, à Douala et dans le Nord-Ouest.

« Les deux patientes issues des régions anglophones en crise ne pouvaient plus se déplacer aisément sur de longues distances au regard de l’âge avancé de leurs grossesses et de l’insécurité ambiante », a expliqué le Pr. Jean Marie Kasia, administrateur directeur général du Chracerh, à la presse.

Selon le récit du journal, sur place au Chracerh, des jumeaux, une fille et un garçon sortis du sein de leur mère par césarienne aux toutes premières heures de mardi ont ouvert le bal des naissances.

Ensuite, le bébé fille de dame Nguegeme, 57 ans, a enchaîné à 8h13. Sur la balance, 3 Kg net. Le Pr. Kasia est encore à refermer l’abdomen de sa mère que l’on vient le chercher au pas de course. Dame N., 30 ans, suivante sur la liste des césariennes programmées et installée dans le bloc opératoire suivant est en train de faire un malaise.

Le cas donne des sueurs froides aux étudiants en médecine présents. Il faudra une anesthésie générale couplée à l’expérience des anesthésistes chevronnés dont Dr Nomo, Maurice Nguenn, pour stabiliser la patiente. Serein, le Pr Kasia opère. Un bébé de sexe masculin est tiré des entrailles à 8h50, mais il n’émet aucun son. L’atmosphère s’alourdit davantage. Pédiatres, anesthésistes et leurs équipes se relaient à son chevet, s’attelant à le réanimer. Un silence à couper au couteau s’installe.

Au bout de 20 à 25 minutes d’efforts, le nouveau-né pousse enfin de forts vagissements : il est sauvé. Le soulagement se lit sur tous les visages. Pr Kasia et Dr Noah achèvent tranquillement de recoudre la mère. «Merci monsieur, c’est du bon boulot que vous avez fait là. Je l’ai vu. Nous ne devons perdre aucun bébé…», fait reconnais sant, le professeur de médecine à un jeune de son équipe qui vient à passer.

Le reste des interventions se déroule sans encombre, ni émotion particulière. Les bébés de mesdames Ambassa, 46 ans, et Dondjio, 48 ans, tous de sexe féminin, arrivent successivement à 9h45 et à 11h05. «Ceci est le résultat de l’expérience. Nous sommes une équipe résolument engagée derrière le président de la République et son épouse, Mme Chantal Biya, pour sortir définitivement le Cameroun de la léthargie et le positionner dans les hautes sphères mondiales de la gynécologie obstétrique», affirme Pr Kasia. Voilà qui permet de démarrer l’année 2019 en beauté.

Plus que jamais visible grâce à ses prouesses reconnues par les institutions scientifiques internationales de haut niveau, le Chracerh se positionne comme un hôpital de référence en matière de santé de la reproduction. Les patientes affluent de partout : des villes et des villages camerounais, des pays voisins ou éloignés, et même d’Europe, du Moyen Orient. Les soins qui nécessitaient des déplacements à l’étranger sont désormais accessibles sur place et à moindre coût. 

 

Otric N.

Published in Santé






Sunday, 05 June 2022 11:01