Une attitude qui leur a valu d’être passé à tabac par une foule en furie qui refuse que de tels agissements aient cours dans leur environnement.
Fort heureusement pour eux, Jules Picquard T. et Gilles Bernabé N. G. élèves en classe de 1ère C et de 1ère D au Lycée de Bangang Fokam – Commune rurale du Ndé ont été sauvés par le chef du village. Ce dernier a requis l’intervention des gendarmes qui ont interpellé les deux individus.
Pour les habitants du coin, Jules Picquard T. et Gilles Bernabé N. G sont membres d’un réseau qui veut étendre ses tentacules dans la localité : « En réalité, ils ne sont pas des élèves. Ce sont des homosexuels en progression et ayant la ferme intention d’étendre leur réseau. Nous n’allons pas les laisser faire et chaque fois que l’occasion nous sera donnée, nous allons les traquer. Nous ne connaissons pas cette affaire chez nous. Nos ancêtres ne nous ont pas légué comme héritage… ».
Selon certains confrères de la presse locale, les deux adolescents ont été pris la « main dans le sac » le 18 Mai 2021, au lieu – dit Centre du village. Au-delà de leur démarche et de leur gestuelle marquée par des élans de féminité, Ils se sont lancés dans une violente dispute ; Et, ceux qui les ont interpellés révèlent que « C’est à ce moment que les derniers doutes ont été levés. Nous avons exactement su à qui nous avons à faire…
Celui qui, pendant leurs accouplements subit les assauts de l’autre se plaignait ouvertement de s’être fait sodomiser plusieurs fois, sans contrepartie. Même la foule, ameutée par cette querelle hors du commun, n’a pas découragé les deux tourtereaux, qui ont continué à se chamailler ».
L’homosexualité : Cette gangrène qui semble de plus en plus prendre de l’ampleur
Et dans laquelle les jeunes enfants plongent, au grand désarroi des parents. Les réseaux sociaux y contribuent fortement étant donné qu’ils ne sont point contrôlés ; les adolescents y surfent, trouvent des informations qui, en principe doivent être contrôlées.
Pour des raisons parfois mercantiles, ils sont soudoyés par des sugar dady. Ces derniers leur demandent de dévoyer ceux de leurs amis et camarades, faibles d’esprit ; Ceux-ci se laissent emporter par les mirages, utilisés et enfin finir derrière les barreaux, lorsqu’ils ne sont pas tués.
Défense des droits des homosexuels au Cameroun : Une fumisterie qui ne risque pas de prospérer.
Et les lois à ce propos sont claires. L’Article 347 du Code Pénal Camerounais, promulgué par la loi no 2016/007 du 12 juillet 20167 :
« Est punie d’un emprisonnement de six (06) mois à cinq (05) ans et d’une amende de vingt mille (20 000) à deux cent mille (200 000) francs, toute personne qui a des rapports sexuels avec une personne de son sexe».
Nicole Ricci Minyem