Et cinq ont été neutralisés par une équipe commando des Forces de Défense du Bataillon d’Intervention Rapide détachés le 25 Juillet dernier dans le cadre de l’Opération Alpha
Le violent accrochage entre la vaillante armée Camerounaise et les terroristes de cette secte obscure s’est déroulé au pied des Monts Mandara, non loin de la localité de Gouzda Vreket.
Bilan
Côté amis : Rien à signaler
Côté terroristes
- 05 terroristes neutralisés
- 04 fusils d’assaut récupérés dont 03 kalachnikov AK 47 et 01 FAL
- 06 boîtes chargeurs AK 47 avec 51 munitions de 7.62
- 06 munitions de 5.56
- 01 gilet de fabrication artisanale.
- 02 téléphones portables
- 3500 Naira
Une énième victoire
Face aux incursions quasi permanentes de ces bandits de grands chemins, les soldats Camerounais affectés dans le Septentrion veillent au grain. Les résultats plus que probants de ces derniers mois en sont la preuve palpable et, c’est le partenariat avec les populations, en l’occurrence les groupes de comité de vigilance qui permet d’engranger toutes ces victoires.
Cependant, ces derniers sont aujourd’hui incriminés
Le 10 Juillet dernier, dans l’un de ses multiples rapports incriminant les légalistes, les véritables défenseurs des droits de l’Homme, l’ong Human Rights Watch a commis un document dans lequel il accusait le 42ème Bataillon installé à l’Extrême Nord de « Forcer les civils d’assurer les gardes de nuit ».
Les rédacteurs de ces dénonciations, font croire que « Durant la période initiale de ce travail forcé, de la mi-mars à la fin avril 2020, des soldats ont roué de coups ou menacé ceux qui refusaient de s’acquitter de cette tâche… Les habitants continuent de vivre dans la crainte que les passages à tabac ne reprennent, tandis que le travail forcé et les menaces se poursuivent ».
Lewis Mudge – directeur pour l’Afrique Centrale de cette ong va plus loin, en intimant l’ordre aux autorités Camerounaises de « Cesser immédiatement de forcer les civils à exercer des fonctions de surveillance la nuit, et au contraire de les protéger par des moyens légaux…D’enquêter sur les allégations de passages à tabac, de menaces et de travail forcé, et les membres des Forces de Sécurité responsables devraient être traduits en justice ».
Pourquoi un tel acharnement ?
C’est la question qui monte immédiatement à l’esprit, chaque fois qu’on lit les écrits de cette ong. Chaque fois que dans la région du l’Extrême Nord, les membres de cette nébuleuse ont tenté de s’introduire sournoisement dans les villages, les marchés et autres agglomérations, ceux qui donnent l’alerte sont les jeunes, ayant volontairement décidé de se défendre contre les terroristes.
Ils ont toujours été vus à côté des autorités administratives, ainsi que des Forces de Défense et de Sécurité, après la mise en déroute des agresseurs et, les témoignages donnés par les uns et les autres ont chaque fois permis de comprendre que c’est la synergie d’actions qui donne la victoire aux agressés. Les membres des comités de vigilance affichent – ils cette satisfaction sous la contrainte après avoir reçu les menaces et les coups de bâton ?
Alors, d’où proviennent de telles allégations ? Ces accusations visent quel but à la fin ? Qu’est ce qui motive réellement les représentants de Human Rights Watch au Cameroun ?
Nicole Ricci Minyem