Après avoir visité quelques infrastructures sportives, l’ancien capitaine des Lions indomptables Samuel Eto’o Fils a tenu à saluer le président de la République et son gouvernement, pour les stades construits.
Samuel Eto’o Fils fait partie de la délégation qui fait depuis le 16 octobre 2021, une mission d’inspection des infrastructures sportives retenues pour la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Il faut souligner que cette délégation est conduite par Ferdinand Ngoh Ngoh le Secrétaire général de la présidence de la République Ferdinand Ngoh Ngoh. Elle a pour but de rassurer l‘opinion sur la capacité du Cameroun à abriter la CAN 2021. Après avoir donc effectué la première étape de cette tournée d’information, l’ancien capitaine des Lions indomptables Samuel Eto’o a salué la qualité des infrastructures construites.
«Je suis très fier d’être Camerounais. On a eu la chance de jouer et de visiter de beaux stades, mais en voyant nos frères Africains qui arrivent et qui apprécient ce que nous avons chez nous au Cameroun me rend encore fier », a-t-il déclaré.
Pour Eto’o Fils, avoir aujourd’hui de si belles infrastructures, est une chose qui ne permettra plus qu’on trouve des excuses pour le développement du football local. Aussi, l’ancien Lion indomptable a remercié l’action portée par le Chef de l’Etat et son gouvernement.
«C’est aussi une responsabilité parce que nous n’avons plus d’excuses. Nous ne pouvons plus dire aujourd’hui que nous n’avons pas d’infrastructures pour développer notre football. Nous sommes au niveau où nous devrons être…Nous attendions tellement de notre gouvernement, alors nous sommes toujours portés par la critique. Mais quand c’est bien fait, il faut savoir dire « MERCI » (pour les infrastructures, NDLR). Alors je dis une fois de plus « Merci ». Tout ceci pour que nous ayons la meilleure CAN (…) pour que le Cameroun gagne avant même de rentrer sur le terrain. Merci, et grand merci encore à son excellence Paul Biya », a déclaré le meilleur buteur de l’histoire de la CAN.
Liliane N.