Tel est le principal message qui ressort de la lettre que Samuel Eto’o Fils - président de la Fédération Camerounaise de Football a fait parvenir à ce responsable du football qui a dit il y’a quelques semaines pour le regretter que “ Samuel Eto’o Fils a refusé la main qui lui a été tendue…”;
Quelques extraits de ladite lettre
“ Au cours du processus qui a abouti à l’élection d’un nouvel exécutif à la tête de la Fédération Camerounaise de Football, j’avais pris l’engagement d’ouvrir les discussions avec toutes les personnes physiques ou morales ayant introduit des procédures contentieuses devant les juridictions ou arbitrales contre la Fédération.
Élu président de la Fecafoot le 11 décembre dernier, c'est-à-dire il y’a un mois à peine, j’ai entamé avec vous un échange qui n’a pas été conduit à sa fin. J’en suis sincèrement désolé et tiens à vous assurer que ma considération à votre égard ne souffre d’aucun déficit.
A ma décharge, je vous prie de croire que ce retard est dû aux contraintes de mon agenda et à une inversion de priorités indépendante de ma volonté.
Mon projet de redonner au football Camerounais sa grandeur serait voué à l’échec si la famille de notre football persistait dans ses batailles devant cours et tribunaux.
Pour développer notre sport, nous devons être capables de nous parler et, surtout, de nous écouter les uns les autres, loin des prétoires, sans avocats ni juges étrangers. En toute fraternité.
Notre préoccupation de l’heure étant la victoire de nos chers Lions indomptables, vous comprenez que ma disponibilité ne sera entière qu’à l’issue de la compétition en cours sur notre sol. Je vous proposerai alors de tenir notre assise dès que possible pour, je l’espère, aplanir nos divergences”.
N.R.M