Des milliers de manifestants ont pris d'assaut les routes perturbant ainsi tout trafic et autres mouvements humains. L'argument brandi, l'urgence de décrier les atteintes au climat.
Selon des sources crédibles proches des activistes, les seuils de pollution annuels dangereux ont été atteints depuis la fin du mois de janvier 2019. Une raison de plus selon eux de se mobiliser pour opposer un non catégorique au réchauffement climatique qui va sans cesse grandissant. Ce mercredi, les habitants de la ville de Londres sont privés de métro et de bus. Ces activistes sont réunis au sein du groupe dénommé "Extinction rebellion". La vision de ce groupe étant celui d'attirer l'attention des Britanniques non seulement sur le réchauffement climatique, mais aussi "l'effondrement écologique".
Ce qui est perceptible au " Plateau du Larzac "
Dans ce lieu, ou encore aux collines écossaises sont perceptibles des tentes, des barrières et des guitares pour l'amplification de la manifestation. A l'unanimité les manifestants plaident en faveur du blocage des voies d'accès dans le centre ville de Londres. L'un des sites qui n'échappe pas à la curiosité de tout venant, c'est la station du métro Waterloo qui est restée bloqué. Même scène au Marble Arch à Oxford Circus et à la place du Parlement.
"On ne veut pas causer des problèmes aux gens, mais c'est tellement difficile d'attirer l'attention si on ne bloque rien. Et puis, on a quand même beaucoup de soutien avec des gens des immeubles à côté qui nous apportent du café", explique un manifestant.
Une situation préoccupante auxquelles devront donc se pencher les autorités britanniques et la communauté internationale dans son ensemble pour y trouver des solutions, car les problèmes climatiques au-delà de toute considération revêt un caractère universel qui mérite des mobilisations tous azimuts.
Innocent D.H