Cette opératrice économique a offert des kits scolaires à plus de 220 élèves installés dans cette localité du Haut Nkam dans la région de l'Ouest.
D’après le récit de Mutations, la joie était visible samedi 14 septembre dernier sur les visages de près de 220 élèves déplacés internes issus de divers établissements scolaires de l'arrondissement de Banka, région de l'Ouest. Ces derniers ne sont pas rentrés les mains vides. Ils sont revenus avec des sacs de classe à dos, garnis de fournitures composés de cahiers, stylos à bille, crayons ordinaires et des règles. Des kits qui ne sont pas de trop pour ces récipiendaires ayant entamé l'école quelques semaines plus tôt.
Au cours de cette 4ème édition de l'excellence scolaire initiée par Françoise Puené, par ailleurs opératrice économique et élite du département du Haut-Nkam, la cérémonie dédiée à promouvoir le mérite a été fortement courue le 14 septembre dernier. Sur le champ, des ordinateurs, des matelas, des téléviseurs et leurs accessoires ont été remis sur un total d’environ 500 bénéficiaires, 158 enseignants ont été encouragés pour leurs efforts fournis pour l'encadrement des jeunes. Une preuve que « Mamy Nyanga », comme elle aime se faire appeler, ne lésine sur aucun moyen lorsqu’il faut venir en aide aux nécessiteux.
Selon elle, «cette action intervient dans le cadre de ses activités d'assistance aux frères et sœurs en difficulté, en plus des natifs du coin». Des propos recueillis par nos confrères de Mutations. C'est ainsi qu'elle a décidée d’offrir des fournitures scolaires aux déplacés internes frappés par la crise sociopolitique qui sévit dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest depuis trois ans.
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A cette cérémonie, on observe une forte affluence à l’esplanade de la cathédrale de Banka, où Mgr, Abraham Komé, évêque du coin et par ailleurs président de la Conférence épiscopale nationale, a pris soin de combler cette rencontre de bénédictions et de prières: confiant que «la générosité est quelque chose de divin et une très bonne action que les gens doivent perpétuer ». Selon lui : « ceux qui possèdent en abondance doivent donner davantage », exhorte-t-il.
En se séparant, tous ont reconnu qu’il s'agit d'un geste de «cœur» salué également par des autorités administratives au rang desquelles, le préfet M. Mamoudou. Qui invite en langue de Shakespeare, ceux qui sont encore à la traîne, à emboîter le pas, dans le même élan de générosité.
Liliane N.
La célèbre Présidente Directrice générale du groupe Franco a mené cette opération par le biais de sa « Fondation Puene pour la liberté ».
Depuis le lundi 19 août 2019, neuf détenus de la prison centrale de Bafang ont recouvert la liberté. Leur remise en liberté, ils la doivent à Françoise Puene allias «Mami Nyanga». Il se trouve qu’en passant par la Fondation éponyme, la Pdg du groupe Franco a conduit une opération ayant abouti à la libération des neuf détenus qui sont Raphaël Akina, André Chanjoko, Gaëtan Eric Wassom, Darsal Oblain Youmbi, Jordan Ngand-jieu, Ngankam Foyet Christian, Rosalie Kongueu, Franck Siewe Dieubone et Prosper Tongang.
Pour mieux comprendre ce qui a été fait, il faut indiquer que les personnes suscitées, avaient déjà purgé leur peine. Cependant, ils n’avaient pas les moyens financiers pour payer des frais exigibles les permettant de rejoindre leurs différentes familles, après des années de détention à la prison centrale de Bafang. Ladite prison est située dans le département du Haut-Nkam dans la région de l’Ouest du Cameroun. Françoise Puene est donc intervenue à ce niveau.
Pour elle, son action vise non seulement à œuvrer pour l’humanisation du milieu carcéral, mais aussi, à contribuer au décongestionnement des prisons du Cameroun. Il s’agit là aussi des objectifs fixés par la «Fondation Puene pour la liberté». En revenant sur l’humanisation des prisons, la femme d’affaires indique que cela va se faire par la formation des prisonniers aux petits métiers.
En venant assister à la libération des neuf prisonniers, Françoise Puene a également pensé aux autres détenus. Elle a apporté des téléviseurs, du matériel de couchages et de toilettes, du riz, du sel et des exemplaires du code de procédure pénale à ceux qui continuent de purger leur peine dans ce pénitencier. «Mami Nyanga» a affirmé être déterminée à continuer dans l’encadrement, le soutien et la libération des détenus en supportant certains frais y afférents.
Liliane N.
Dans une interview accordée à notre confrère Mutations édition du 19 octobre 2018, la coordonnatrice du «Mouvement des femmes biyaïstes» salue les efforts fournis par le parti politique au pouvoir durant la campagne électorale.
Pas d’inquiétude à avoir du côté du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), c’est ce que pense Françoise Puene. En sa qualité de coordonnatrice du «Mouvement des femmes biyaïstes», elle a la certitude que le Président Paul Biya, candidat du RDPC sera déclaré vainqueur de l’élection présidentielle 2018, le 22 octobre prochain. Cette certitude, elle la base sur le travail que son parti politique a abattu sur le terrain, lors de la campagne électorale, qui a débuté le 22 septembre 2018 et s’est achevée le 6 octobre dernier.
«Nous les «Biyaïstes», nous attendons sereinement la victoire de notre champion. Nous avons tout mis en œuvre. Nous avons fait la campagne à travers le monde entier, nous avons sensibilisé tous les camerounais de s’unir derrière le candidat Paul Biya pour qu’il continue d’unir le Cameroun. Car nous voulons un Cameroun un et uni. Et nous allons barrer la voie à tous ceux qui veulent diviser notre pays…J’ai été déléguée comme la présidente nationale des «Femmes biyaïstes». J’ai fait pratiquement le tour de l’Europe pour sensibiliser les camerounais de la diaspora à s’unir derrière le candidat Paul Biya. Nous sommes satisfaits par ce travail au regard des résultats qui sont venus de l’Europe où nous avons gagné presque dans tous les bureaux de vote», déclare-t-elle dans les colonnes de notre confrère.
Pour ce qui est des requêtes qui ont été déposées au Conseil constitutionnel, Françoise Puene trouve que celles-ci étaient «farfelues». La preuve selon elle, c’est qu’ils ont tous été rejetés. A titre de rappel, la haute instance dirigée par Clément Atangana durant trois jours de débats de haute facture, a vidé le contentieux post-électoral. Le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) avait déposé un recours pour obtenir l’annulation partielle du scrutin du 7 octobre dernier dans certaines régions du pays. Le Social democratic front et le parti politique Univers réclamaient l’annulation totale de l’élection.
Il faut savoir que selon la loi N°2012/001 du 19 avril 2012, modifiée et complétée par la loi N°2012/017 du 21 décembre 2012 en son article 134, «le Conseil constitutionnel peut, sans instruction contradictoire préalable, rejeter, par décision motivée, les requêtes irrecevables ou ne contenant que des griefs ne pouvant avoir aucune incidence sur les résultats de l’élection». Et selon l’article 136 de ladite loi, «les décisions du Conseil Constitutionnel relatives aux opérations électorales, aux résultats des élections et aux candidatures ne sont susceptibles d’aucun recours».
La coordonnatrice du «Mouvement des femmes biyaïstes» pour revenir à elle, salue le fait que tous les camerounais vont accepter le verdict des urnes. Pour elle cela signifie que tout le monde se plie à la justice de notre pays. «Pour moi c’est une grosse satisfaction de voir que les camerounais croient en leur justice, de voir que ceux-là qui vont nous gouverner demain respectent les textes de la République. Je suis très heureuse de voir qu’ils sont allés vers les institutions compétentes pour se plaindre», ajoute-t-elle.
Pour la petite histoire, Françoise Puene est le PDG du groupe Franco qui comprend l’hôtel Franco classé quatre étoiles dans la capitale politique du Cameroun.
Liliane N.