L’Organisation Non Gouvernementale (ONG) de défense des Droits humains présentent les exactions commis par des groupes armés séparatistes dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest du Cameroun. Human Rights qui condamne ces actes criminels sollicite que les Nations Unies l’intervention des Nations Unies à travers des sanctions d sévères contre les coupables.
Le rapport de Human Rights Watch met en lumière les exactions et la grande criminalité des séparatistes sur les populations, les humanitaires, les chefs traditionnels et les leaders religieux dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest. Dans les détails, l’ONG révèle que pas moins de 285 innocents ont trouvé la mort au cours de près de 200 attaques terroristes dont la responsabilité est attribuée à ces hors la loi (groupes armés séparatistes). Des actes criminels qui sont à l’origine de déplacement des milliers de camerounais. Ainsi certains ont fui vers d’autres régions du pays, d’autres se sont réfugiés au Nigéria voisin.
Face à cette situation désastreuse et d’une criminalité inqualifiable, Human Rights Watch recommande aux Etats-Unis, de sanctionner durement et sévèrement les auteurs. Selon les exigences de Lewis Mudge exige que cette barbarie et sauvageries orchestrés par les sécessionnistes soient punies devant la Cour pénal international (CPI). Le responsable de l’Organisation de défense des Droits humains estime que les leaders basés en occident et aux Etats-Unis d’Amérique doivent répondre de leurs actes.
Grosso modo, Human Rights Watch souhaite que des pressions soient faites sur les leaders séparatistes pour qu’ils soient mis à la disposition de la justice. Les avoirs de ces fauteurs de troubles doivent être rapidement gelés afin de les déposséder des moyens de financement des opérations de guerre dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest.
Rappelons que la crise anglophone dure depuis bientôt 4 années. Les pouvoirs publics camerounais ont à leur niveau, sous l’éclairage du Président de la République, Paul Biya, n’ont de cesse eu à chercher des voies moyennes pour une sortie définitive de crise dans les deux régions anglophones du Cameroun. La tenue du Grand dialogue national en fin septembre et début octobre 2019 en est une parfaite illustration de ces mesures.
Innocent D H