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Réinsertion des migrants: 813 jeunes camerounais accompagnés en 2018

vendredi, 09 novembre 2018 13:57 Liliane N.

Ils ont été aidés à travers le Programme d’aide au retour et à l’insertion des jeunes de la diaspora.

Le dimanche 14 octobre 2018, huit camerounaises ont atteri à bord d’un avion à l’aéroport de Douala, après avoir passé des mois au Koweit à être utilisées comme des esclavages. Parties du Cameroun pour se trouver une place sous le soleil, elles ont à la place du bien-être recherché, croisées l’enfer, d’après leurs témoignages. Crescence Fouda Ngah l’une de ses filles est celle qui avait posté une vidéo sur la toile dans laquelle, elle appelait à l’aide les autorités camerounaises. Ladite vidéo avait alors permis d’être au courant de leur mésaventure et avait suscité la mobilisation ayant conduit à leur retour au Cameroun. Avant cette histoire de camerounais du Koweit, il y a eu l’année dernière en 2017, celle des migrants en Lybie. Au nombre de 250, ils avaient eux aussi grâce aux actions des autorités pu revenir au pays, après des mois passés dans des situations de précarité extrême.  Seulement on peut se demander qu’est-ce qui se passe une fois de retour chez eux. Sachant que certains sont partis depuis bonne lurette.

Le dénommé Anselme Epoko Epoko Coordonnateur national du Programme d’aide au retour et à l’insertion des jeunes de la diaspora (PARI-JEDI) présente les actions qui sont faites pour encadrer ces migrants. «Le Programme d’aide au retour et à l’insertion des jeunes de la diaspora est tout d’abord un mécanisme de mobilisation des jeunes camerounais de la diaspora en vue de leur retour et de leur insertion socio-économique. C’est aussi un moyen de promotion de la participation de la diaspora à l’œuvre de construction nationale…A ce jour, grâce à la collaboration avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), dans le cadre de l’initiative conjointe Fonds fiduciaire Union européenne-OIM, 813 jeunes ont été accompagnés sur 2 148 accueillis au cours de cette année. Il était question d’accompagner dans leur processus de réintégration 850 jeunes en trois ans. C’est dire qu’on avait sous-estimé le besoin de retour des migrants camerounais», déclare-t-il.    

Anselme Epoko Epoko indique que les facilités accordées aux migrants pour leur insertion sont entre qu’on les met en emploi salarié et en auto-emploi. Pour ce qui est de l’emploi-salarié, les migrants sont regroupés en fonction de leurs profils et référencés vers des entreprises nécessiteuses ou des structures de recrutement. Pour ce qui est de l’entrepreneuriat, ils sont accompagnés dans le montage de leurs plans d’affaires qui doivent être présentés aux structures de financement. Lesdites structures se recrutent le plus souvent dans les projets ou les programmes gouvernementaux. «Le cas d’un jeune qui veut mener la culture du cacao : après avoir monté son business-plan, nous engageons un lobbying auprès des structures spécialisées dans la cacao culture, notamment le CICC et d’autres projets et programmes du MINADER», ajoute-t-il.    

Il faut savoir que le PARI-JEDI a été créé le 14 février 2017 par le Ministère de la Jeunesse et de l’Education civique. Il conduit des activités de sensibilisation et de réintégration des migrants à travers son réseau de partenaires.

Liliane N.

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