Il s’agit d’une initiative du Dr Evariste Tchikaya qui, comme les fois précédentes entend mobiliser ses compatriotes de la diaspora afin que les enfants de cet arrondissement ne manquent de rien durant l’année scolaire qui pointe à l’horizon
Pour atteindre les objectifs fixés, l’homme politique - président de cellule du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais de Grigny - sous section Seine et Marne va s’entretenir le 14 août prochain avec les Camerounais de la diaspora car, de son point de vue et malgré la pandémie du coronavirus, il est question de remettre dix mille (10 000) kits aux enfants scolarisés
“ La pandémie du Covid-19 ne doit pas priver notre jeunesse de notre initiative; Celle d’être un soutien permanent pour elle alors que le retour en classe est prévu dans quelques semaines. Comme les fois précédentes et peut être même plus, nous allons mettre les petits plats dans les grands et ainsi assurer une rentrée sans stress à de nombreux enfants…”.
L’initiative est menée en totale collaboration avec Augustin Mballa, maire de la Commune d’Arrondissement de Yaoundé V qui, depuis Octobre 2020, lui a accordé un poste important au sein de la Commission de “Promotion des relations de coopération” sur le plan international.
Lorsqu’on connaît le stress dans lequel de nombreux parents sont plongés pendant cette période, une telle initiative ne peut que les soulager; Grâce à ces kits scolaires, ils se verront alléger la tâche et pourront dès lors focaliser leurs efforts pour les inscriptions de leurs progénitures.
L’on se souvient d’ailleurs qu’au cours de la 5ème édition, les membres de la diaspora avaient mobilisé la rondelette somme de trente (30) millions de Fcfa; Ce qui, avec l’apport de l’Unicef qui se chiffrait à cinq ( 5) millions de Fcfa a permis à de nombreux enfants, parmi lesquels les malvoyants, de reprendre sereinement le chemin de l’école.
Ce n’est pas l’unique chantier dans lequel s’implique le Dr Evariste Tchikaya
La main du militant du parti proche du pouvoir est ressentie dans tous les projets de développement initiés au sein de cette Unité Administrative à l’instar des campagnes pour la promotion de la Santé auprès des populations locales.
De son point de vue, l’on ne peut parler de “Développement Participatif qu’avec des personnes en bonne sa santé; Une population qui est en mesure de bénéficier au moins des soins de première nécessité, une population qui est en mesure de se nourrir convenablement, bref, une populations qui est à l’abri des besoins primaires ne peut que participer à son propre bien être. Nous savons tous que nous ne sommes plus à l’époque où on venait leur raconter des histoires, en leur donnant de temps en temps quelques billets de banque ou encore un peu de nourriture;
Les électeurs aujourd’hui savent avec qui ils veulent et peuvent évoluer et, c’est ce que nous nous attelons à faire au quotidien. Nous savons que la tâche est ardue et, au-delà des paroles, ce sont nos actes qui vont les convaincre qu’ils ont fait le meilleur choix, en nous faisant confiance”.
Nicole Ricci Minyem