Un geste déplacé du sieur Amougou. Z - natif Nkolmetet dans le département du Nyong et So'o.aurait posé devant les apprenants
L’homme qui est présenté par ses collaborateurs comme un “ être méprisant, qui n’a du respect ni pour ses collaborateurs, ni pour sa hiérarchie” aurait choisi de s’en prendre à madame Matip alors qu’élèves et enseignants prenaient la pause de la mi - journée.
Nos confrères sur place décrivent une scène inouïe qui a eu comme conséquences: ‘ l’évanouissement d’un parent d’élève, des écoliers traumatisés et un personnel enseignant scandalisé, qui n’entend pas laisser cet énième acte de violence…”.
Autre description faite par ses collaborateurs
“Amougou Z est reconnu devant l'éternel comme un homme, efféminé, mais sans scrupule, une vraie brute et un machin-truc de l'éducation de base…
Voilà donc un paltoquet qui avait été appelé à d'autres fonctions comme chef de bureau d'administration générale (BAG) à l'inspection d'arrondissement de Mbankomo dans la Mefou et Akono, mais qui n'a jamais rejoint ce poste…
Il a choisi délibérément et contre la décision de sa hiérarchie, de garder son poste de directeur de l'école publique de Nloevoé. Une vraie sorcellerie administrative qui étonne tous les enseignants qui connaissent ce dossier”.
Ses autres “faits d’armes”
“Il y’a quelques jours, il a eu maille à partir avec une autre enseignante, une certaine madame Tsogo qu’il a voulu battre; Mal lui en a pris car il a été copieusement frappé par la brave dame…”.
A la suite de ce malheureux incident, madame Tsogo a demandé l'affectation et exerce actuellement à l'école publique groupe 3 de Mfou.
Que s’est - il donc passé?
Notre confrère raconte que ce vendredi matin, “ Un parent est venu se plaindre de son enfant qui, au-delà d’être mauvais élève, se permet quelquefois de prendre de l’argent dans les poches de sa maman;
Mise au courant de la situation, madame Matip tentait tant bien que mal de faire comprendre à l’élève récalcitrant qu’il est entrain d’emprunter un mauvais chemin, bref, de le mettre face à ses responsabilités;
C’est sur ces entrefaites qu’intervient le directeur et sans très bien cerner les motivations de son chef hiérarchique, la pauvre dame a reçu une gifle qui l’a laissée sans voix et après son acte, le sieur amougou est tranquillement rentré dans son bureau”.
En attendant que les choses ne dégénèrent, le corps enseignant en appelle à la réaction du ministre de l'Education de Base, du Préfet de la Mefou et Afamba, du Sous-préfet de Mfou…”.
N.R.M