Samira Daoud, la responsable d'Amnesty International pour l'Afrique Centrale, basée à Dakar au Sénégal est en guerre contre le Cameroun. Depuis juillet 2018 et la publication d'un rapport incendiaire, elle n'a cessé de tenter de mettre en place son agenda politique contre ce pays.
Il faut dire qu'avec une carrière passée dans les pattes de George Soros (Oxfam, Amnesty, etc...), elle connaît toutes les techniques visant à déstabiliser le pouvoir. Peut-être fait-elle d'ailleurs partie de ceux qui incitent aux violences insurrectionnelles au Cameroun. Peut-être fait-elle partie de ceux qui encouragent les saccages et pillages de nos ambassades en occident.
Quoi qu'il en soit, il est légitime de se demander si Amnesty International a toujours un rôle honnête à jouer. Car plutôt que de demander à ce que le choix du peuple soit respecté, à savoir l'élection sans triche du chef de l'Etat Paul Biya, Amnesty considère le Professeur Kamto comme un prisonnier politique. Pire, il semble qu'Amnesty milite en faveur du Professeur Kamto.
Et ce, alors que ce dernier a été arrêté pour les violences qui entourent les manifestations du 26 janvier, à Paris, Yaoundé et Douala. Ce dernier a enfreint la loi et a été interrogé pour connaître son rôle exact dans les violences.
Il serait judicieux qu'Amnesty International soit un peu plus équitable quand il s'agit du pays des Lions Indomptables. Samira Daoud, qui n'est pas venue au Cameroun ces dernières années, ne semble pas vraiment connaître la situation réelle sur le terrain. Elle se fie, visiblement, à ceux qui font le plus de bruit sur les réseaux sociaux. Mais la période de "la loi du plus fort" est terminée en Afrique. Il est temps que la parole du peuple, de la démocratie, et du respect de la loi, soit appliquée.
Samira Daoud, vous détestez peut-être notre Président et peu importe ce que j'en pense personnellement, nous, camerounais, ne vous permettrons pas de semer la zizanie et de troubler nos espoirs de paix et de sérénité. Le Cameroun est uni. Il est fier. Il est fort. Et plutôt que de divisions et de viols de la loi, il a besoin de rassemblement et de respect de nos valeurs.