Dans cette tribune publiée sur sa page Facebook, l’homme politique fait ressortir les incohérences de certains Camerounais qui, chaque fois que l’occasion leur a été donnée, n’ont pas manqué de tourner en dérision les personnes nommées pour servir leur pays. De son avis, ce sont les mêmes qui présentent le Cameroun comme la représentation de l’enfer sur terre, le Président de la République comme un « usurpateur de pouvoir » et qui estiment qu’il leur faut même boycotter l’air qu’ils respirent dans cette Afrique en miniature. Vont-ils considérer que leur camarade de parti, nommé à l’Université de Douala est un « sardinard » ? Va t-il boycotté ce poste ?
« Le Trésorier National Adjoint du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun Okala Ebode vient d’être recruté par l’administration universitaire de Douala assistant.
Par cet acte républicain, les responsables de l’université de Douala démontrent l’égalité des chances de tous les camerounais sur les postes à pourvoir dans la fonction publique.
Seulement, les investisseurs du discours de haine dans ce parti doivent revoir leurs copies. D’abord la nomination de Fo’o Dzakeutonpoug a fait un tollé général.
Les partisans de ce parti l’avaient affublé de tous les noms d’oiseaux : traite, gombiste, opposant complotiste et collabo, ce fut effroyable pour cet avocat international qui a fait ses preuves sur le Plan international et dans la lutte des plus pauvres dans son pays.
Que dire de la nomination de l’un des journalistes les plus rigoureux au Cameroun en termes d’éthique ? Denis Kwebo nommé aux droits de l’homme a été tancé et caricaturisé pendant plus d’un mois dans les réseaux considéré comme un journaliste traitre.
Il est important de le dire, le Cameroun a atteint un niveau paroxysmique d’ouverture et de Dialogue. Une vision qui émane du pacifiste et Homme de paix le Président Biya.
Aujourd’hui et plus que jamais je me tourne vers le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun. Okala Ebode est-il traître ? N’a-t-il pas le droit comme tous les camerounais de travailler pour la politique de l’éducation planifiée et programmée par le Président Biya ?
A-t-il le droit de bénéficier d’un acte administratif signé par le ministre d’Etat fidèle des fidèles du Président Paul Biya ? De toute évidence, c’est la reconnaissance mondiale et nationale que Paul Biya est le Président élu de tous les camerounais et leur Président et qu’ils font définitivement et à jamais allégeance. La Magnanimité et l’ouverture du président Biya est au delà des espérances ».
N.R.M