Un gendarme a été enlevé dans la nuit du 23 avril par des sécessionnistes à Muyuka dans la région du Sud-Ouest. Ces dernies l’ont tué et décapité avant de propager les parties de son corps partout dans la ville.
En effet, le jeune gendarme Adam Assana, kidnappé par des terroristes sécessionnistes ambazoniens, à été sauvagement découpé, décapité et éviscéré, avant de voir sa tête empalée et jetée sur la voie publique dans plusieurs endroits de la ville.
Sur la toile, les images choquantes circulent depuis ce matin et suscitent diverses réactions de la part des internautes. Les citoyens camerounais, pour la plupart, déplorent cette cruauté ainsi que le mutisme de nombreux organismes internationaux qui ont pour habitude de s’acharner sur les forces de sécurité camerounaises.
« Le militaire reçoit l'ordre des supérieur et ne tire sans légitime défense. Cet acte a été posé sans considération aucune pour sa famille et ses proches, ni pour l'honneur, la dignité et l'humanité de la victime. », peut-on lire dans des commentaires en ligne. La tristesse et l’émoi dans laquelle ils jettent ainsi les proches ainsi que les citoyens camerounais en général ne leur sont d’aucun égard.
De toute évidence, incompréhensible de voir ces rebelles agir de la sorte.
Les messages d’indignation et de consternation fusent également de toute part. « Jusqu'où et jusqu'à quand de tels actes contre nature vont-ils se porter contre les Forces de Défense d'un pays ? »
Depuis quelques mois, les rebelles sécessionnistes ont pris l’habitude de piller les populations et leurs avoirs, imposant un rythme de vie inexplicable qui s’assimile presque à une vie animale. Ces combattants semblent n’avoir rien à foutre de la dignité humaine et n’éprouvent aucune compassion à chosifier et détruire un être humain ainsi. « Au nom de quoi, de qui, de quel système de valeurs, pour quels intérêts et jusqu'où doit on faire ce genre de choses ? Où se terrent toutes les ONGs Internationales, occidentales, les Medias mensonges du Mainstream Occidental, l'Union Européenne, le Parlement Européen, Transparency International, Human Right Watch, Amnesty International, Save the Earth, La Croix Rouge et le Croissant Rouge International ? », s’interroge-t-on.
C’est à de telles occasions, l’on aurait souhaité voir réagir les organisations internationales qui se disent humanitaires et défenseurs des droits de l’homme ainsi que les grandes puissances qui sont plutôt très réactives et excitées lorsqu’il s’agit de dénoncer les « exactions de l’armée camerounaise contre les civils et les sécessionnistes ». Que non ! Aucune sortie, aucun tweet, aucun post, sur un sujet qui serait pourtant viral à cette heure s’il s’agissait de leurs intentions de manipulation. On a tout l’impression que tous ces sponsors attendent de voir les leurs affectés par ces conflits pour se manifester.
Un gendarme a été enlevé dans la nuit du 23 avril par des sécessionnistes à Muyuka dans la région du Sud-Ouest. Ces dernies l’ont tué et décapité avant de propager les parties de son corps partout dans la ville.
En effet, le jeune gendarme Adam Assana, kidnappé par des terroristes sécessionnistes ambazoniens, à été sauvagement découpé, décapité et éviscéré, avant de voir sa tête empalée et jetée sur la voie publique dans plusieurs endroits de la ville.
Sur la toile, les images choquantes circulent depuis ce matin et suscitent diverses réactions de la part des internautes. Les citoyens camerounais, pour la plupart, déplorent cette cruauté ainsi que le mutisme de nombreux organismes internationaux qui ont pour habitude de s’acharner sur les forces de sécurité camerounaises.
« Le militaire reçoit l'ordre des supérieur et ne tire sans légitime défense. Cet acte a été posé sans considération aucune pour sa famille et ses proches, ni pour l'honneur, la dignité et l'humanité de la victime. », peut-on lire dans des commentaires en ligne. La tristesse et l’émoi dans laquelle ils jettent ainsi les proches ainsi que les citoyens camerounais en général ne leur sont d’aucun égard.
De toute évidence, incompréhensible de voir ces rebelles agir de la sorte.
Les messages d’indignation et de consternation fusent également de toute part. « Jusqu'où et jusqu'à quand de tels actes contre nature vont-ils se porter contre les Forces de Défense d'un pays ? »
Depuis quelques mois, les rebelles sécessionnistes ont pris l’habitude de piller les populations et leurs avoirs, imposant un rythme de vie inexplicable qui s’assimile presque à une vie animale. Ces combattants semblent n’avoir rien à foutre de la dignité humaine et n’éprouvent aucune compassion à chosifier et détruire un être humain ainsi. « Au nom de quoi, de qui, de quel système de valeurs, pour quels intérêts et jusqu'où doit on faire ce genre de choses ? Où se terrent toutes les ONGs Internationales, occidentales, les Medias mensonges du Mainstream Occidental, l'Union Européenne, le Parlement Européen, Transparency International, Human Right Watch, Amnesty International, Save the Earth, La Croix Rouge et le Croissant Rouge International ? », s’interroge-t-on.
C’est à de telles occasions, l’on aurait souhaité voir réagir les organisations internationales qui se disent humanitaires et défenseurs des droits de l’homme ainsi que les grandes puissances qui sont plutôt très réactives et excitées lorsqu’il s’agit de dénoncer les « exactions de l’armée camerounaise contre les civils et les sécessionnistes ». Que non ! Aucune sortie, aucun tweet, aucun post, sur un sujet qui serait pourtant viral à cette heure s’il s’agissait de leurs intentions de manipulation. On a tout l’impression que tous ces sponsors attendent de voir les leurs affectés par ces conflits pour se manifester.