Dans une mise au point rendue publique hier 19 août par sa cellule de communication, Jacques Lengue Malapa affirme n’être pas le seul à avoir accès à l’ascenseur de la mairie de Douala 1er, dont il a la charge.
Contrairement à ce qu’affirme la Fondation camerounaise des consommateurs (Focaco) par la voix de son président Alphonse Ayissi Abena, la cellule de communication de la mairie de Douala 1er, déclare que le maire n’est pas le seul à pouvoir utiliser l’ascenseur. Ses collaborateur à l’instar de ses adjoints et tous les chefs de services disposent chacun, d’un ‘’pass’’ électronique leur conférant usage intégral de cet engin de facilitation à la mobilité. La mairie réfute toutes les accusations d’Alphonse Ayissi Abena devenues virales sur la toile.
«Dans cette sortie scripturale, le nommé Alphonse Ayissi Abena fait grossièrement état, sans le démontrer, de ce que «plusieurs usagers (femmes enceintes, personnes âgées, personne à mobilité réduite) des plaintes dénonçant l’interdiction d’accès à l’ascenseur qu’abrite l’hôtel de ville de la mairie de Douala 1er, un bâtiment R+4 où les services essentiels, y compris le cabinet du Maire, se trouvent au dernier étage», écrit la cellule de communication de la mairie de Douala 1er.
Comment comprendre donc que la Focaco puisse porter de telles accusations contre le maire Lengue Malapa ? Pour la cellule de communication, Alphonse Ayissi Abena n’est que dans une campagne de «désinformation et de sabotage». Pour elle, le président de la Focaco serait en quête du sensationnel et est tout simplement incohérent.
«Des agents de la police municipale de la Mairie de Douala 1er sont sans discontinuer en faction dans le hall de l’immeuble non loin de l’ascenseur afin d’y faciliter l’accès aux personnes vulnérables, âgées et handicapées. Par ailleurs, la Mairie de Douala 1er tient à rappeler que les services essentiels à forte offre et fréquentation publique ont été expressément positionnés au rez-de-chaussée du majestueux immeuble de la Mairie de Douala 1er», ajoute la cellule de communication de la mairie de Douala 1er.
Liliane N.