Le jeune homme a violemment été arraché à la vie le 1er Septembre dernier, alors qu’il était affecté en renfort au Commissariat Central de Bamenda
Vendredi, René Emmanuel Sadi – Ministre de la Communication a relevé que « Cet acte barbare, d’une cruauté inqualifiable a été perpétré aux environs de 12 heures 30 minutes, au lieu – dit « City Chemist », non loin du Centre Commercial de la ville ce Bamenda, par deux individus en possession d’armes de guerre, lesquels, ont délibérément ouvert le feu sur une patrouille de Police du Commissariat Central de Bamenda… ».
Les « assassins » seront bientôt interpellés
Et, ils vont répondre de cet autre crime car, dans son discours, René Emmanuel Sadi a annoncé que « Les services spécialisés recherchent activement les auteurs de cet assassinat d’un des valeureux éléments des Forces Camerounaises de Défense et de Sécurité… ».
Le Gouvernement Camerounais condamne avec fermeté ce meurtre
Et c’est par la voix la plus autorisée, celle du ministre de la Communication que cela a été dit : « le Gouvernement exprime son indignation et condamne avec la dernière énergie cet acte cruel, commis par des bandes terroristes sécessionnistes, qui, une fois de plus, viennent d’ôter violemment la vie à un représentant de la force publique, dans le plein exercice de sa mission de protection des populations et de leurs biens… ».
Les condoléances de la Nation toute entière à la famille durement éprouvée
« Le ministre de la Communication transmet à la famille de l’Inspecteur de Police de 1er grade, Bikoî Nlend Ndaji Joseph, si durement éprouvée, les sincères condoléances du Chef de l’Etat, Son Excellence Paul Biya, ainsi que celles du Gouvernement de la République, en même temps qu’il réaffirme aux Forces Nationales de Défense et de Sécurité, le vif et ardent soutien de la Nation toute entière… ».
Un meurtre de plus, un meurtre de trop
Bien que moins récurrentes, contrairement à ce qui a été vu par le passé, les attaques cruelles de cette horde de « criminels » causent la même douleur, aussi bien aux proches des parents des disparus qu’à la Nation toute entière.
Et, c’est de cette Nation que viennent les messages de raz le bol. C’est elle qui « exige » que des mesures drastiques soient prises, afin de venir à bout de ces hors la loi car, chacun de leur crime apparaît comme un défi permanent lancé aux Camerounais qui n’aspirent qu’à vivre dans la paix, malgré les vicissitudes qu’impose la vie.
Nicole Ricci Minyem