Ces derniers, fidèles à la lâcheté qui les caractérise ont une fois de plus, une fois de trop causé pleurs, désolation et lamentation au sein de nombreuses familles et parmi les victimes deux gendarmettes Gend Nougue Maeva et Gend Boumla Emelda.
A Galim
Les deux jeunes dames ont succombé aux blessures graves reçues après l’assaut donné par vingt individus, lourdement armés venus à bord des motos. Une arrivée presque surprise, facilitée par l’obscurité qui couvre la ville à ce moment là. L’Inspecteur Nsangou, le Gardien de la Paix Principal Djeugap et un gardé à vue Supuyo Salifou sont eux aussi décédés et leurs corps ont été acheminés vers la morgue de l’hôpital de Bouda, tandis que les blessés ont été conduits dans d’autres centres hospitalier pour y bénéficier des soins.
En dehors des tenues emportées, ces « psychopathes » ont volé trois armes Ak 47 et 06 boîtes chargeurs garnies, deux armes dont un FAL, un PM et des munitions.
D'après les témoins, les assaillants après l’attaque, ont pris la direction de la localité de Bafandji dans le Nord Ouest d’où ils venaient.
Une récidive
Des sources non officielles affirment que l’attaque de ce Samedi a été menée par un groupe armé qui contrôle le lac Bamenjing. C'est le même qui, le 07 Janvier 2020, a tenté un assaut au niveau du poste de gendarmerie de Bangourain, emportant 04 armes (dont une collective) et une caisse de munitions. Y faisant suite, le Chef de l'Etat avait instruit le démantèlement dudit groupe et l'installation d'un détachement des FDS à ce niveau. La mise en œuvre de cette mesure, va permettre de stopper les incursions de ces terroristes.
Bamenda : 08 Mars 2020
A 10 heures ce Dimanche, alors que les festivités marquant la célébration de la 35ème édition de la fête des Droits de la Femme battent leur plein, des explosifs, certainement activés à distance éclatent à quelques mètres de la tribune officielle. Le bilan est lourd : Un militaire tué, sept blessés graves dont quatre militaires, deux fonctionnaires de la police et un civil. Tous se trouvent actuellement à l’hôpital Général de Douala.
Double Attaque Terroriste de Galim et Bamenda : Communiqué du Gouvernement
Silence complice des ONG et apocryphes défenseurs des Droits de l’Homme
Ces deux attaques ont été revendiquées par des activistes ambazoniens qui vivent en dehors des frontières Camerounaises. Ils ont été vus à de nombreuses occasions et dans d’autres vidéos, cotiser de l’argent qu’ils envisageaient d’envoyer pour l’achat des armes que leurs complices, sous le couvert des organisations non gouvernementales remettent au quotidien aux terroristes.
Ce sont ces mêmes Ong qui accusent la vaillante armée Camerounaise, de perpétrer un génocide dans les régions du Nord et du Sud Ouest mais qui, depuis Samedi, n’ont strictement rien dit. Aucun message de condoléances aux familles, aucun mot d’encouragement pour ces Soldats qui consentent de gros sacrifices pour qu’ils vaquent tranquillement à leurs activités.
Que dire de ces « politiciens » qui ont fait de la crise sécuritaire dans les régions dites anglophones, leur « fond de commerce ». Aucun message de compassion alors qu’à Galim, deux merveilleuses jeunes Camerounaises ont été assassinées alors qu’elles n’étaient pas sur le champ de bataille. Elles montaient simplement la garde pour assurer la sécurité à leurs concitoyens.
Ce Samedi 07 Mars, certaines dans l’esprit de récupération qui les caractérise, ont arboré des tenues noires en prétextant qu’elles compatissent à la douleur des victimes et de leurs familles. On se pose des questions sur cet humanisme de surenchère qu’elles présentent aux yeux du monde.
Monsieur le Président la République, il est temps que cela cesse et c’est à vous de donner des ordres pour que l’Armée Camerounaise ne soit plus un mouroir pour ces Jeunes Hommes et Femmes qui sont tout le temps pris pour cible par ces terroristes.
Sincères Condoléances aux familles de ces victimes et respect total pour votre sacrifice suprême.
Nicole Ricci Minyem