Selon nos sources, les employés de la Fecafoot venus en retard ce 14 décembre 2021 sont restés coincés hors de la barrière.
Décidé à créer un cadre de travail sérieux et discipliné à la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Samuel Eto’o Fils n’y est pas allé d’une main douce ce mardi matin du 14 décembre 2021 avec le personnel employé. On a appris de nos confrères Cfoot et Afrique vision+sport, que les employés précisément des concierges qui sont arrivés en retard au travail, ont trouvé la porte d’entrée fermée sur instruction du nouveau patron des lieux.
«En effet, arrivé au siège de la Fecafoot ce matin à 7h 45 minutes, Samuel Eto’o a instruit la fermeture du portail à 8H 00. Tous les employés retardataires sont actuellement coincés hors des locaux, et Samuel Eto’o a fait le tour des bureaux pour recenser le personnel présent. Notre source précise que Samuel serait très remonté contre les Concierges de l’immeuble, qui auraient ouvert le portail à un ancien lion indomptable (anonymat requis) qui officierait dans lesdits locaux. Samuel aurait récupéré les clés du portail, et renvoyé les Concierges », rapporte le confrère Cfoot.
Il convient de rappeler qu’hier 13 décembre 2021, Samuel Eto’o Fils pour sa prise de contact a précisé aux employés de la Fecafoot, quelles étaient les heures de travail. Il a par ailleurs rassuré lesdits employés et particulièrement Parfait Siki le Secrétaire général de la Fédération.
«Les heures de service c'est 8H - 16H. Chaque employé doit bien faire son boulot comme dans une équipe de football. A vous M. Le SG (Parfait Siki ndlr...), Que personne ne vienne à moi sans passer par vous. Vous êtes le patron de l'administration. Je vous laisse avec vos collaborateurs. Bonne journée», a-t-il déclaré.
Le geste de Samuel Eto’o Fils de ce matin qui suscite de nombreux commentaires, est apprécié de façon mitigée. Il y en a qui salue et il y en a comme Valsero qui affirme que le nouveau patron de la Fecafoot n’a pas besoin d’arriver à ce niveau pour obtenir d’eux le respect et la performance.
Liliane N.