Le journaliste et pasteur Cyrille Châtelain EWOLO est formel, certains médias internationaux veulent profiter du départ de l’argentin Diego Armando Maradona, pour glisser dans l’esprit de plusieurs, un message subliminal qui n’est rien d’autre qu’un message blasphématoire.
Ce message est que : « Dieu est Mort ». En effet, l’emblématique footballeur était toujours à couteau tiré avec les frères ennemis brésiliens. Les brésiliens considéraient le meilleur footballeur de tous les temps, Pelé, comme le Roi du foot. Et en réponse à cet affront, les fans de foot du côté de Buenos Aires ont décidé de « diviniser » leur star, Maradona en l’élevant au rang du « dieu du foot ». C’est fort de ce conflit que Diego Maradona a hérité ce surnom qui lui a collé à la peau. On se souvient également de son but marqué en quart de finale de la Coupe du Monde de 1986 face à l’Angleterre qu’on avait qualifié de la main de Dieu puisqu’il s’était servi de sa main pour feindre un coup de tête pour inscrire ce but.
Une fois que ce dernier « perce son ballon de foot », il allait de soi qu’on utilise ce surnom dans les différents titres qui devaient annoncer son départ pour l’autre monde. Ce n’est pas ce que dénonce le formateur en journalisme et directeur d’une école de formation en journalisme qui est étendu sur le territoire national, le CEFRAMA. Cyrille Châtelain EWOLO souligne ici le caractère pernicieux que peut insinuer subtilement certains journaux français dont « L’Equipe ». Il fait savoir dans l’une de ses sorties à ce sujet, « Certes, je ne suis pas un dieu de la langue française, mais je crois pour ma part que cette #UNE du journal français L'ÉQUIPE n'est pas anodine. C'est un message subliminal qu'ils font passer, croyant avoir affaire aux esprits naïfs. Mr le Rédacteur en chef, il aurait été mieux pour vous de titrer : Le dieu est mort. Supposant bien sûr qu'on fait allusion au dieu du football. Ce blasphème vis-à-vis de notre Dieu ne passera pas. Et c'est à dessein que ce titre a été choisi. » Une fois le démarquage bien précisé, le journaliste et pasteur évangélique insiste en affirmant : « Comprenez Messieurs, que notre Dieu est #Éternel. Il est le même hier, aujourd'hui, et éternellement. Si vos dieux meurent, le nôtre ne mourra jamais. »
Cyrille Châtelain EWOLO attend des corrections de la part de la rédaction du journal « L’Equipe » sur cette question. Sauf que ce journal opère dans un environnement ou la liberté accorde de larges droits aux médias et à leurs acteurs. Et si l’on considère juste l’existence de « Charlie Hebdo », tout porte à croire que le droit au blasphème y est implicitement consacré.
Stéphane NZESSEU