Selon des informations publiées par plusieurs sites sur les réseaux sociaux, l’attaque a causé de graves blessures à une dizaine de personnes, urgemment conduites à l’hôpital de District de la ville et, à cette heure, impossible d’avoir plus d’informations sur le réel état de leur santé.
Impossible pour l’instant d’avoir plus de détails sur le mode opératoire de ces terroristes mais, certaines indiscrétions font savoir que les criminels sont entrés dans l’enceinte du Collège Mother Francisca, en arborant l’uniforme de cet établissement scolaire et, alors que les enfants se préparaient à intégrer leurs salles de classe, ils ont été violemment attaqués.
Les victimes auraient été plus nombreuses, n’eut été la prompte intervention des populations riveraines qui, comme cela a té mentionné plus haut, ont conduit de nombreuses victimes à l’hôpital alors que les Forces de Défense et de Sécurité arrivaient elles aussi sur le lieu du drame ;
D’ailleurs, les sources officieuses laissent entendre qu’une enquête est d’ores et déjà ouverte, alors que le cri de détresse des Populations raisonne fortement : « Nous, les victimes, faisons appel au Président de la République, S.E Paul Biya pour qu’il ordonne le déploiement de toute l’Armée, s’il le faut afin d’écraser tous ceux qui se prévalent de leur appartenance aux ambazoniens… ».
Des attaques sporadiques et lâches
Qui sont maintenant imputées à quelques groupes de criminels qui arnaquent, kidnappent et assassinent des petits enfants, des femmes, de vieilles personnes et même les malades alités sur des lits d’hôpitaux.
Incapables d’affronter la vaillante et professionnelle armée Camerounaise, ils espèrent continuer à faire parler d’eux et donner l’illusion à leurs commanditaires qu’ils peuvent perpétrer la terreur.
Mais fort heureusement,
La complicité, l’entente, le travail mené main dans la main par les Forces de Défense et de Sécurité et les Populations donnent les résultats escomptés par les Camerounais depuis le début de cette crise sécuritaire.
Depuis quelques semaines déjà, l’on assiste à la destruction, à la déconstruction d’un mirage bâti par des mythomanes en manque de sensations ; des camps détruits, des chefs criminels maîtrisés, parfois même par ceux qui hier encore, tremblaient de peur devant eux.
Sur les réseaux sociaux, les commanditaires sont mis à nu, par ceux là même qu’ils ont, à un moment donné voulu prendre comme caisse à résonnance des supposées maltraitance qu’ils auraient subi ; Ils sont aujourd’hui, présentés comme les criminels qu’ils sont, sans parler du démantèlement des circuits de ceux qui leur fournissent les armes.
Comme tous ceux qui ont perdu la vie depuis le début de cette crise sécuritaire, de la main des ambazoniens, les sept enfants ayant perdu la vie ce Samedi seront eux aussi vengés.
Sincères condoléances aux familles.
Nicole Ricci Minyem